21 août 2006
Ode à pieds.
Vagues larmes lointaines au milieu des bruyères… J’avançai, moi, le serviteur de mes pieds que je suivais ainsi. Pas moyen de pleurer, la tristesse fut trop dense, alors, autant vaquer, là, devant, pas à pas.. Car je suis seul au monde, il faut donc continuer....