31 mai 2008
Les poèmes à oublier par coeur.
Il m’arrivait parfois, les jours humeur fantasque, d’acheter de vieilles odes dans des livres pourris des opuscules marqués par d’anciennes coulures. Des humidités de cave et des traces de rats. Racheter des poèmes qui ne valent pas un clou. Des éditions...