Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
orlando de rudder
orlando de rudder
Publicité
Archives
9 février 2008

Génocide animal: les rats!

------------------ Alors, ce se serait passé au XVIIe.s. Les animaux, modèles des humains non hominisés, non humanisés, se livraient, comme toujours, des guerres hallucinantes. Leur inhérente saloperie, leur haine répugnante demeure chez les plus moches d’entre nous et cette époque voyait des massacres indigne de l’homme. Tandis que par ailleurs, de vrais humains pensaient, avançaient, rêvaient de paix. On reprenait conscience de l’ignominie de la nature, malgré de beaux discours imbéciles et péremptoires tenus par des mochasses et autres religieux.. Alors les rats sont arrivés. Les noirs. Aussi féroces que les chats qui servaient à les tuer. Ces rats venaient d’ailleurs, par des navires superbes. Sur lesquels les marins vivaient bas, lourd et glauque. On fouettait au moindre écart et la discipline déprimait tout un chacun jusqu’aux extrêmes violences. Temps de mutineries, de pirateries. Les rats indigènes, pas meilleurs que les envahisseurs, résistèrent. Mais les rats étrangers furent les plus fort, mieux organisés, dit-on, militaires, méthodiques. Il paraît que leur prolifération fut conjointe à l’évolution du mythe du vampire. De Dracula, dont le modèle fut Vlad Tepes Dracul, l’empaleur, une bête, un vrai chat cruel aimant à torturer longuement : un être de nature. Pur ! Aimant bêtes et arbres ! Malgré la culture que sa noblesse lui fit subir plus qu’aimer. Et qui avait vécu bien avant tout cela. Mais dont la légende s répandait encore. Alors, les rats d’ailleurs massacrèrent et devinrent ceux que l’on connaît dans les villes. Les autres moururent ou émigrèrent dans les campagnes. Samuel Johnson a écrit que qui habite la campagne ne mérite pas de vivre ailleurs. Cela vaut pour ces rats puisqu’ils y sont encore. J’en ai connu quelques-uns. J’en ai même tués. Alors, on a raconté beaucoup de chose sur le « génocide » des rats autochtones. On a même dit que les conquératns se groupaient parfois pour massacrer un chat dont il ne restait plus, après l’attaque, que des os broyés, machouillés, liquéfiés.. L’humanité n’a pour but que de ne jamais se conduire ainsi. De chasser le naturel et de ne le tolérer qu’à l’amble. Et encore. Pour ce faire il ne faut pas croire, mais chercher le savoir. Toute ignorance est germe de crime. Alors… L’histoire de ces rats est advenue à une bonne époque. Celle des religieux. Celle de la fondation de l’Amérique moderne avec des puritains partant sur un navire pace que l’horreur de leurs mentalités, leur volonté de « pureté » ignoble a su dégoûter aussi bien les immondes Catholiques que les répugnants Protestants. Sans oublier les infâmes anglicans tout aussi massacreur et veules autant qu’haineux. Alors ? Voyez comme on peut dire n’importe quoi à, partir de faits établis. J’aurais pu faire pire en métaphorisant l’immigration, genre extrême-droite savon noir et Monsieur Propre en sus, assimilant le rat envahisseur à l’immigré pourtant si nécessaire aujourd’hui ! Ce qui aurait plu à un tout autre public. Mais il faut choisir. J’aurais aussi pu écrire n’importe quoi. Ce que, d’ailleurs, j’ai fait. Le chapitre des chapeaux existe chez Aristote : il n’y a plus qu’à le rédiger.. Alors, bon, ça suffit : Soyons plus sérieux ! Plus vraie est la bande dessinée d’Art Spiegelman. L’art est une raison qui dépasse la raison. Vive la liberté et méfions-nous des démonstrations complaisantes. Les animaux sont tout de même dégueulasses. Comme les religieux. Et si on massacrait les uns comme les autres ? Quand on raisonne nullache on en arrive là ! Particulièrement quand on parle nature. Alors quoi ? Voici : Tout discours indolent, toute inadvertance mène toujours à ce point ! Soyons fiers d’être humains et buvons de la bière à l’estaminet du coin de la rue qui tourne. Tout en établissant de vastes théories absurdes, tonitruantes, péremptoires très con. Comme ci-dessus, mais en moins chiadé. Sauf que je ne me suis pas foulé. La liberté d’aimer en peut pas être un droit. Dites-moi le contraire et vous aurez raison. Vous aussi. Ce n’est pas cher. Tite-Live nous dit bien qu’il n’est certains de rien pour ses premiers chapitres. Et c’est pourtant la source d’un savoir exemplaire. Salut.
Publicité
Publicité
Commentaires
H
Eh oui la nature est dans Ducasse. Et pour une fois je parle pas de bouffe. J'ai point testé. Elle se fout de la Morale comme le cafard de la propreté, elle est purement rien, je passe du temps à expliquer à mes grenouilles de cinq et deux ans que non le requin n'est pas mechant et la biquette gentille, que ces distinctions là sont uniquement humaines, et que le croco croqueur d'antilopes et noyeur de tits nenfants le fait pour la meilleure raison du monde animal le plaisir brut immediat et naturel ... Z'avez déjà écouté les commentaires des docus animaliers ??? Pllus con tu meurs ...
Publicité