L'environnement: un problème technique!
Brave Chirac!Il parle exactement comme les écolos! Ah! il est loin, le temps durant lequel pour la défense de la nature, contre la pollution et DE CE FAIT contre les gouvernements dont Chirac faisait partie, contre les groupements dont Bayrou était membre! A cette époqie, les écologistes, dont j'étais n'avaient pas le vent en poupe! En ce temps là nous assumions le fait POLITIQUE,le risque d'erreur et les courants mystique genre "Mère Nature" étaient minoritaire. HAns Jonas nous faiait rire et nos étions dans le droit fil des Lumières, malgré les anti-humanismes qui pullullaient déjà. Nous luttions vrai et contre l'idéologie ambante. La "spiritualité" écologiste mène au fascisme et l'écologie profonde se répand, de plus en pus admise.Elle est encore minoritaire, mais riche, soutnue et avance: il va fallior choisir! C'est toujours comme ça!LEs idéologies se radicalesen et il n'y a pas de place pour les tièdes et les indécis! . Les lâches
Aujourd'hui, grâce au mysticisme fascisant, à la culpablisation de l'humain, l'écologisme revient à ses sources: le mépris des hommes, la passion malsaine des zamidézanimo qui en sont à "l'égalité "animale, ce qi en veut rien dire faute de critère possible et au mépris du mode de vie des gens, présumés "beaufs" ou autes catégorisation fascisante... Le tout avec une idée nunuche et haineuse de la nature, une construction intellectuelle prônant un esthétisme à la Walt Disney et des déterminismes lourdemetn chargés dans l'hisoire.
L réel? Il est simple: il y a une pollution dommagable. Il faut qu'ele disparaisse. Point. IL s'agit d'un problème technique. pur le reste,la tere n'est pas en danger, ele peut nuorrir encore plus d'habtants, il n'y a pas de surpopulation.IL y a juste une idéologie qu vent du darwinisme, du malthusianisme, des sourcs mêmes de tous els totalitarismes dont elle fait partie.
Il n'y a pas à changer, ou non, notre mode de vie, à "prendre conscience" de notre "Faute" -ce n'est qu'une erreur- et à mépriser le courant des Lumières, ni à sacraliser -ou non- les animaux. IL faut refuser le "révolution" écologique et la atégorisation de la majorité des homem en "gros cons". L'homme es grand, sublme et avance contre, justement les obscurantismes reigieux dont l'écologisme fait partie. IL n'y a ps d'instnce aute que l'homme pu juger l'homme et l' "hypothèse Gaïa" et un délie utopîque de plus du domaine tujors un peu louche et de droite dure de la littéraure d science-fiction. Passionnate, d'aileurs, mais aux fascinations significatives...
Nous n'avons pas à changer profondément, comme on voudrait nous y containdre, notre mode e vie, notre façon d'être.Nous ne devons pas nous soumette à une idéologie paricuière par oukase autoritaire écolo. Ce discours totalitaire rappelle les fascismes dont l'idéal écologiste est issu. Il s'agit, en fiat de créer "l'Homme Nouveau" en "harmonoe" avec la nature (et, selon la langue de bois très significative, la "biolsphère")et cette idéologie revient après les massacres du siècle dernier qui l'avaient ocultée comme faisant partie de la mouvance des pensées criminelles dont le résultat venait d'horrifier par ses meurtres! Car le mouvement écolo, près son émergence chez les mystiques genre Blavatsky (la théosophie! Fumeuse,mais horrible idéologie ramasse-tout) puis les scientifiques de la théorie des races devint, après la guerre, un des piliers de la pensée d'extrême-droite, des mouvements pour le moins ambigus ( comme le mouvement Planète de Luis Pauwels et Jacques Bergier) avant d'essaimer dans les groupuscules sectaires et les organisations végétariennes, mystique prônant souvent des mystiques orientales plus que fascisantes... LE tut dans l'anti-humanisme le plus déterminé.
Or, le problème est à pendre clairement;De même qu'on a , jadis,abusé du DDT, il fut corriger le tir. LEs pesticides et les engrais modernes nt sauvé le mond de la famine,des disettes, là où on s'en est sevi.ILs ne sot pas mauvais en soi. L'abus sul est dangereux. On utilise encore un peu le DDT c'st résiduel et sns danger. C'est la même situation que pur la médecine moderne, géniale, qui empêche la mort, qui fait que 'lhomme n'a jmais vécu aussi vieux et en bonn santé et qu'il irai ben sans la culpabilisation occidentale fénétique et masochiste que prône l'écologisme: on abuse.on prend un antibiotique pour le moindre rhume...
Ce qui n'est pas si grave: LEproblème est technique, n'a rien à voir avec une idéologie particulière et maintenant chiraquenne de la nature! On pollue trop? Fort bien! On va trouver le moyen d'arrêter. Comme toujours dans l'histoire du monde: on fait une connerie, on la répare! LA connerie vient du progrès de l'esprit humain qui s'est un peu abusé. C'et tout. Et ce progrès réparera. Quelel grandeur! Avant, on lissait la mort agir, quand tout était bio et mystique. Aujourd'hui, on est révoltés, comme Gavroche, on veur FROMAGE ET DESSERT!
Le progrès de l'esprit humain arangera le tout. Le reste c'est de la foutaise de flic et de curé genre HAns Jonas ou Aiken, Mess ou Ehrenfeld t va nous mener à la radicalisation de l'écologisme. A l'écoterrorisme qui commence à devenir préoccupant. Et qu'on commence aussi à ne désapprouver que du bout des lèvrs ("hje suis contre la violence, mais il faut bien reconnaître que...). A des massacres si on laisse fiare, si on ne réveille pas la pensée des droits de l'homme, qui sont aussi ses devoirs, dans la lignée de KAnt, de Condorcet, de Diderot, des Lumières et, plus lintainement de Montaigne, Rabelais, LA Boétie... La vie vraie l'espoir, l'énergie,la beauté... Le contraire de la culpabilisation mochasse et cul-béni de l'écologisme! Eh oui: c'estmoisn facile,la rigueur,la grandeur, la dignité humaine! C'est moins commode que l'avachisement mystique! Sans la pensée écolo, on n'est pas "coupable", on devient responsable. C'est-à-dire libre...
Avec le devoir de résister conre les pensées totalitaires, mystiques, policières et religieuses...
MAs c'est tellement plus facile d'être écolo! On jouit d'être "bien"! C'est gratifiant! Gâtifiant! Hideux! Confort intellectuel! Et pensée d'extrême-droite honteuse.
Seulement, un jour, sans doute proche,il a falloir choisir son camp. Ca va faire mal.
A lire:Jean Dorst.
RéSISTANCE.
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