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orlando de rudder
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16 juillet 2006

SArkozy n'a pas reçu Zidane!

C'est bien: le président a reçu Zudane... Le patron de Monsieur Sarkozy a reçu le descendant d'immigrés... Purquoi n'était-il pas présent, Sarkozy? Il aurait aimé serrer la louche au brave petit gars de banlieue qui a réussi par le sport! comme ça, il fait pas chier: il n'est ni à l'assemblée, ni à l'Université, ni au Colège de France, ni dans la recherche, ni dans le management...Il reste à sa place: le sportif, c'est idéal, ça n'emmerde personne... ET c'est un idéal pour les autres immigrés ou issus d'immigrés.comme ça, ils feront du sport, pas de politique (mais un peu d'humanitaire!) et seront fort copains avec les potes à Sarko... Le sport est politique. Des noirs l'avaient compris, sur un podium de jadis, aux jeux olympiques: ils ont levé le poing. Zidane, lui, s'incline devant le chef de tout ce qui fait la banlieue moche, de celui qui, déjà quand il était ministre, il y a de décennies, nuisait aux pauvres, aus immigrés, aux humbles (on oublie trop souvent la carrière de Monsieur Chirac... Cela fait longtemps qu'il nuit!).Aux parents ou aux grands-parents de Monsieur Zidane dont il était l'ennemi déclaré. Il l'est toujours d'ailleurs.. Le sport finit toujours par être collabo! Le sport est politique. Le foot n'est même plus un sport, mais une mentalité. L'effort compétitif empêche le coeur d'aimer!
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Commentaires
B
J’aime bien ce que vous dites.<br /> Voici 2 adresses de blogs qui abordent des sujets voisins d’une manière… àvous de juger<br /> Vous y êtes cordialement invité ! fouillez ds les archives !!!!<br /> http://bebereulnanar.blogspot.com/<br /> http://beberpoilauque.blogspot.com/<br />
G
Assez d'accord avec ce message... eh puis ce qui m'énerve aussi avec le sport, c'est cette hystérie des foules qu'elle draine, dont on ne sait jamais comment elle va tourner. Dans un sens ou dans l'autre je ne l'aime pas. Je n'aime pas la foule. L'individu s'y perd, y devient dangereux, y devient un enfant qui cherche un père fort en gueule pour l'emmener... où ? Il s'en fiche, du moment qu'on est plusieurs et qu'on peut gueuler. Au lynchage ou à la procession religieuse, laquelle pouvant finir en bûcher. Je n'aime pas les foules. Bien à vous Orlando
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