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orlando de rudder
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22 août 2006

René rémond, les droites en france

Nous devons enccore supporter les pensées molles et flasques du "dépassement du clivage droite-gauche", tarte à la crème et serpent de mer du gnagnan confortable. D'ailleurs, s'il était possible de dépasser ce clivage, cela ne reviendrait pas périodiquement... Qu'il y ait des degrés dans la droite comme dans la gauche, c'est évident.MAis elles existent et bien avant la situation géographique d'une assemblée. C'est l'occasion pour clarifier el débat, de rappeler que, sur la droite, ou plutôt sur les droites, il existe un ouvrage fondamentale écrit par un grand historien,un de ces tellectuels français que nous ne célébrons pas assez, résistant, himme de bien et qui n'est pas spécialement de gauche, vraiment. C'est évidemment René Rémond et je ne pense pas qu'on puisse parler de droite et de gauche sans avoir lu son livre.Qu'on puisse se le permettre... C'est un livre passionnant et qui donne ce plaisir de penser, si gourmant, en plus de se montrer nécessaire... Ca s'appelle "les droites en France" et ça émerveille...Voici le début ce qu'on en dit sur WIKIPEDIA: Les Droites en France Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. (Les Droites en France est un ouvrage d'histoire politique de René Rémond, publié en 1954 sous le titre La Droite en France de 1815 à nos jours et généralement considéré comme l'un des travaux les plus importants de la science politique française et comme l'un des signes avant-coureurs du renouveau de l'histoire politique dans les années 1980. La première édition est publiée en 1954 aux éditions Aubier sous le titre La Droite en France de 1815 à nos jours. Continuité et diversité d'une tradition politique. L'ouvrage est mis à jour en 1963, après la fin de la Quatrième République ; en 1968, après la crise de mai ; et en 1982, après le passage de la droite dans l'opposition, cette quatrième édition prenant le titre actuel. L'ouvrage a été prolongé et actualisé en 2005 par Les Droites aujourd'hui, dans lequel Rémond revient sur les critiques adressées à sa thèse et en discute l’actualité. LA suite est fort bien écrite et renseignera sans dispenser de lire le livre qui permettra de savoir enfin de quoi on parle. Car l'idée de clivage procède d'une ignorance soigneusement entretenue... Certes, ce livre parle particulièrement, come son titre l'indique, de la France. MAis, beaucoup de ce qu'on y trouve peut s'appliquer d'une façon plus générale aux notios mêmes de droite et de gauche qui sont, finalement, universelles... et "incontournables" dans leur radicale opposition... Le jour où l'on se préoccupera de savoir plus que d'apparence, ça ira beaucoup mieux! Au fait: on ne fit pas l'économie de l'histoire... On le sait maintenant en psychologie: dns un famille, un événement ancien a souvent des conséquences importantes dans le présent. En poliique, c'est encore plus flagrant.LA crise du Moyen Orient le montre d'une façon éclatante et l'oubli de l'histoire est aussi celui des victimes, d'où touote un série d'oppositions forcenées... Des gens en parlent sans savoir ce que fut l'Irgoun.. on a effacé de "Tintin au pays de l'or noir" l'extraordianire leçn d'histoire qu'Hegé a donné, aussi brillante que dans le "lotus bleu "pour la chine". Et même pour le Tibet: les manques sur les monasrtères en disent long! PAs une seule référence aux tortures judiciaires ni aux énucléations qui auraient pu devenir el symbole même de ce monde: déjà, l'extrême droite ne voulait plus parler du "royaume guerrier" et cherchait à ne montrer que la spiritualité.. C'était l'époque de Louis Pauwels, de JAcques Bergier, de le revue "Planète" à la si belle maquette... Comprendre Monsieur Sarkozy, par exemple, et son "napoléonisme", ne peut se faire sans penser à sa famille dans la vieille Hongrie d'avant KAdar! C'est éclatant! ... Et à Charles PAsqua... Comprendre Jospin nous ramène aux camisards.. Hé oui: c'est du boulot d'essayer de savoir, de comprendre, d'aimer... On ne fait pas l'économie de l'histoire! ET certains seraient effarés de voir d'où vient ce qu'il pensent et comme ça y retourne... C'est comemels histoires de famille... J'ai connu un généalogiste qui, parfois "oubliait" de mentionner un ancêtre ignoble, malhonnête ou peu décoratif, quand c'était possible, parce qu'il sentait que la famille lui ayant commandé l'étude ne supporterait pas cette révélation... Anne Ancelin-Schützenberger a montré que, même oublié, cela pouvait peser lourd dans la vie quotidienne des descendants et collatéraux... On a dit un jour que la gauche consistait à s'opposer à sa famille... c'est évidemment excessif, mais ça illustre bien le réel. mêm quand on l'englue dans des réalités construites. .. Il y a des carictures fort ressemblantes, même au Danemark (hi! hi!). Non: on ne fait pas l'économie de l'histoire tandis que el passé est devant nous: il nous guette...
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Commentaires
O
Bien sûr! Le marxisme est un populisme! Et l'on a vu tant d'anciens communistes alelr vers le Front National! L'erreur a été de penser le communisme comme de gauche! Toiut en lui est droite: millénarisme mitlitarisme " classe élue" etc. Et le pacte germano-soviétiqu était légitime. MAis l'histoir a fait que les ommunistes, souven des gens de coeur, particulièrement en France, sot restés à gauche tout en continuant de militer au Parti. ela a brouillé les cartes, mais el communisme et d'extrême-droite! Si Besancenot ou Arlette (son regard me fait peur!), serions-nous vivants? <br /> <br /> "gauche non communiste" est un plébnasme! <br /> <br /> Le communisme est très proche de Le Pen!Leprogramme de Le Pen ; fermeture des frontières, programme social type CGT (excluant les étrangers), retour au frranc ressemble à la vie en Albanie ou en roumanie dans les belles années des surlendemains à gueule de bois!
M
Ma foi, un journaliste s'est amusé à prendre les programmes de Jean-Marie Le Pen et de Besancenot, et à les comparer article par article : ils sont identiques à plus de 75%.
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