28 janvier 2006
Commentaire d'un commentaire
Le commentaire de mon précédent message est ordinaire, impoli, à ras de terre.Je le laisse tout de même: les aigris sont marants. De loi: de près, c'est dangereux... J'effacerai ce commentaire ce soir ou demain. L'affirmation de soi et la prétention nous donnent ainsi des gens qui analysent les autres... Ca distrait quelquefois...Il n'y a rien de sincère, de vrai là-dedans... Que de bons vieux clichés complaisants qui "ne supportent pas la contradiction"... Hi! hi! et même : ben voyons. On sent aussi l'envie. Ce n'est même pas vulgaire, c'est tout juste ordinaire...
J'ai eu envie de garder tous ces commentaires, qui sont les mêmes, comme écrits par des clones et qu'on retroue aussi sur d'autres blogs.La mécanique de la pensée-réflexe dépersonnalise et c'est toujours le même discours... Alors, j'ai laissé tomber!
Celui-ci parle de lui-même. L'aigreur est humaine. Je l'effacerai ce soir ou demain. En attendant, j'ai répondu cesi sur le mail du coupable:
"LEs conditions de possibilité de l'expérience sont en même temps les conditions de possibilité des objets de l'expérience, disait Emmanuel Kant, à la morale austère... Un peu de dignité: vous valez certainement mieux que ça"... Je ne sais pas s'il verra le rapport direct!
En attendant, je laisse ce commentaire pour qu'on puisse le lire: c'est une sorte de pilori "soft", comme on dit maintenant... Réagissez si ça vous amuse. Le mieux est que l'on puisse voir ce genre de choses... Il y a des indécences beaucoup plus marrantes, certes.
No pasaran! Hourrah! Cornes au cul, vive le père Ubu! Que ma joie demeure!
Si ça vous amuse, réagissez. Autant en rire...
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Commentaires