27 octobre 2005
Dhammapadam, padam, tralala, tralala, tralalère
Réponse au thermolactyl Dhammapada, receuil de phrases creuse, non pensées, non réfléchies, non miroitantes! McDonalds de l'âme un peu gras, seulement
Je suis ce que j'articule, le plus souvent, en mots bâfrés, en appétit. Je suis dents et mangeaillee t mon ventre réfléchit, bienheureux, digérant.
JE suis ce qui se pense dans le moment vivant, quand enfin, il va faire froid, l'automne, crac! Boum! Et v'lan! Ca va roussir, y'aura du vent, visions-nanan, gllagla, d'accord, mais volupté! Y a du moment!
Du moment! Du vrai moment, l'instinct de l'instant, à l'instar du grand vent soule qui l'engoule et l'amour de saison devient l'être en soi-même, le mangeur de moments, le gourmand d'être soi et la pensée qui cogne comme on tape sur son entre quand on a bien bouffé!
Y aura du vent: cheveux épars, je suis moi-même, et je racobnte ce que j'avale: du vent puissant, de la matière, rien que du vrai, du vent de viande, du vent de chair, de l'animal, du fatal, de la vie. Du "ce qui pense", du dru moment, de l'absolu en charcutaille!
De l'absolu? !qui c'est qu'en vend? Quelque curé? Quelque gourou? Y a de la saucisse, et puis du chou.On se regatrde, un point c'est tout.. Y'a du désir, il pe,se pour nous.Et da pensée qui gicle fort nous fait aimer, ça pense, voilà, comme un vrai vente, un vrai de vrai tou gouleuyé par les saveurs d'automne, puisque c'est de saison!
Saison? ME voici vrai, comme mis à nu par mes pensées qui me dévêtent et me fond chair, esprit à cru! Vive le chant de la matière. Celles que certains appellent nature et qu'ils voudraient avoir comme mère! Insulte bénigne, bassesse minime, démission nunuche et complaisante!
Vive le chant de la matière,la pure, acier fort et brillant popur tranches de vie juteuse!
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