17 octobre 2005
Zen!
LE japon revendiquait l'idéologie Zen, durant la deuxiéme guerre mondiale.Le zen était l'idéologie dominante des criminels prônant le Bushidô et massacrant les paysans pauvres pur les seigneurs et les moines. Ce qu'on appelle "samouraï" désigne en fait des sicaires, des nervis, des hommes de main, des rueurs à gage prtiquant la torture à grande échelle. L'"histoire de ce qu'ils osent appeler "arts martiaunx" est l'hidroite de la dépossession des pauvres, un peu comme au Brésil. Le Bushido, code guerrier, ressemble à la morale nazie et ses effets furent les mêmes. Nous sommes en présence d'une idéologie féodale.
Durant la seconde guerre mondiale, les officiers j'aponais, tout l'Etat-MAjor proclama sa fidélité à la pensée zen.
Ce qui, entre autres, a donné ce qui suit. JE dis bien entre autres. On trouve encore beaucoup de trucs de ce genre sur le net.Le zen n'a jamais offert de liberté. c'est uen idéologie de mort qui a attiré les nazis parce qu'on pouvait frtaerniser entre tueurs mystiques. La femme, dans le zen est méprisée. LEs gens dont on parle ci-dessous étaient fervents du Zen et parmi eux, certains sont même cités comme des sages! Rappelonsqu'au Japon, des gens luttent contre le zen, comme nous avons lutté contre el fascisme. Il y a, là-bas aussi, des noyaux de résistance. ILs ont bien des problèmes! Soutenons les. Voici donc l'une des plus fameuses réalisations du zen en tant que tel Car ce fut aussi accompli au nom du zen.Ouvrez les yeux! Il y a partout dres salauds et l'Occident n'a pas inventé la persécution! Soutenons els opposants au zen et demandons des comptes à cette idéologie:
Le sac de Nankin
Ce qui a été appelé le « sac de Nankin » est sans aucun doute la plus grande tragédie du conflit sino-japonais.
Pendant six semaines, l’armée nippone va se livrer à d’effroyables massacres sur la population civile. Le bilan, selon les autorités chinoises, s’élève à 250 000 victimes civiles et militaires.
La prise ou « sac » de Nankin, par sa violence, illustre de la pire façon les solutions extrêmes issues du culte de la supériorité militaire japonaise.
Le conflit sino-japonais
La Seconde Guerre mondiale et le conflit sino-japonais qui a commencé juste auparavant (1937-1945) ont donné lieu à de terrifiantes exactions en Chine et dans toute l’Asie du Sud-Est.
Quand les premiers soldats japonais entrent le 13 décembre 1937 à Nankin, la capitale de la Chine nationaliste a été évacuée le mois précédent par le général Tchang Kaï-chek (surnommé le " Gimo "). Abandonnée par une grande partie de sa population, la métropole a en revanche accueilli des centaines de milliers de réfugiés. Cela fait cinq mois que la guerre sino-japonaise fait rage. Les Japonais, malgré la résistance chinoise, sont entrés en force pour occuper sa capitale historique - Pékin, alors appelée Peiping, la " Paix du Nord " - sa capitale économique, Shanghai, et Canton, la capitale du Sud.
La violence avait déjà régné lors de la longue bataille pour Shanghai, l'armée japonaise écrasant civils et militaires sous un déluge de feu. Mais c'est pendant ce que l'on a appelé le " sac de Nankin " - en anglais, on dit avec plus de réalisme le " viol de Nankin " - que l'horreur a atteint son paroxysme.
Au cours du mois de juillet 1937, les armées japonaises qui envahissent la Chine, obtiennent des victoires foudroyantes : Pékin, la Mongolie et le nord du pays tombent au mois d’août.
L'armée japonaise défile devant l'empereur avant d'envahir la Chine
Quand les Japonais franchirent les hautes murailles construites par les empereurs Ming autour de Nankin, rares étaient ceux qui s'attendaient au pire. Le général Tang Seng Shih, commandant de la place, s'était enfui et son armée avait jeté armes et uniformes dans les rues. Les tracts lancés par avion prêchaient le calme : " Les troupes japonaises s'appliqueront, dans toute l'étendue possible, à protéger les bons citoyens et à leur permettre de vivre en paix, dans l'exercice normal de leurs occupations ", assuraient-ils.
Des soldats livrés à eux-mêmes
Ivres de victoire, de fureur, les soldats nippons furent lâchés dans Nankin comme des bêtes fauves, sans contrôle pendant des jours. Ils venaient de perdre 40 000 camarades - contre 450 000 pour les Chinois - face à des adversaires qu'ils méprisaient. Ils s'étaient battus pendant des mois dans des conditions affreuses. Le jour de la revanche était arrivé.
La ville fut mise à sac, incendiée par des soudards ne respectant ni hôpitaux, ni écoles, ni églises, ni locaux couverts par l'immunité diplomatique.
Le 13 décembre 1937, les troupes japonaises entrent dans Nankin
Ce massacre gratuit a été d’autant plus facile que les soldats chinois ont livré à l’ennemi 500 000 personnes sans aucun moyen de défense.
De plus, à aucun moment, leur commandement ne cherche à limiter leurs débordements.
Tortures, viols et meurtres
Les témoignages des rares étrangers restés sur place sont terribles : viols, exécutions, massacres en masse... Les femmes étaient violées sur place, écolières dans leurs dortoirs, infirmières dans les hôpitaux, Volonté d'humilier tout un peuple, obsession sexuelle d'hommes soumis à une violence institutionnalisée, qui traumatisèrent toute une ville, tout un peuple.
Enfants et vieillards sont sauvagement massacrés ainsi que les quelques rares soldats restés dans la ville.
Le nombre des victimes de cette dizaine de jours d'orgie meurtrière n'a jamais été établi avec certitude. Robert Guillain, alors tout jeune envoyé spécial de l'agence Havas en Chine, donne dans ses souvenirs le chiffre de 200 000 victimes.
Après quelques jours de cette tuerie, les artères de la ville sont jonchées de monceaux de cadavres
(43 000 selon la Croix-Rouge chinoise). Ces corps sont laissés sur place au risque de provoquer des épidémies.
Des témoins ont évoqué le raffinement des supplices que les Japonais faisaient subir à leurs victimes.
Les meurtres et les viols ne suffisent pas ; les militaires inventent de nouveaux procédés : ils font déshabiller les hommes et les femmes puis les laissent mourir de froid ; ils les enterrent vivants ; les obligent à boire du kérosène ou les éventrent à coup de baïonnette.
Les femmes ont été les principales cibles de cette barbarie ; fillettes, femmes enceintes ou âgées, les viols sont suivis du meurtre ou de mutilations.
Sur cette photo d'archives, des chinois sont enterrés vifs
La boucherie fut bien organisée : au cours du " recensement " de la population, raconte H.J. Timperley, " on annonça à la foule que s'il y avait parmi elle d'anciens soldats et qu'ils sortaient des rangs, ils auraient la vie sauve et on les emploierait comme travailleurs. Deux cent quarante sortirent des rangs... Deux ou trois survécurent pour narrer leur sort... L'un des groupes avait été mitraillé, l'autre, entouré de soldats, fut employé comme objectif pour l'escrime à la baïonnette ". D'autres, ficelés ensemble, furent arrosés d'essence et brûlés vifs, noyés ou utilisés pour l'exercice au sabre par les samouraïs en folie... Soldats, fonctionnaires furent massacrés systématiquement.
Le Japon haï
Après la bataille de Shanghai, le " sac de Nankin " a été le révélateur d'un nouveau nationalisme chinois.
Des épisodes comparables se sont déroulés dans le reste de la Chine occupée entre 1937 et 1945.
On retrouve partout cette même violence absurde et ce même mépris de l’adversaire.
Illustration. En 1937, un sous-marin japonais coula pour le plaisir des jonques de pêche chinoises, faisant près de 300 victimes
Il faudra plus de vingt ans pour que Pékin, comme d'ailleurs Séoul, acceptent d'absoudre le Japon.
Si toutes ces horreurs ont été possibles, c’est parce que les ordres venaient du gouvernement japonais. La torture était largement autorisée. Les services secrets japonais avaient rédigé un mode d’emploi de la torture avec notamment cette prescription : « Il est nécessaire de ne pas oublier que les méthodes de torture doivent être telles qu’on puisse facilement les appliquer et il ne faut pas qu’elles suscitent des sentiments de pitié ».
Le procès de Tokyo, institué par MacArthur, pour juger les crimes commis en Asie. Sept condamnations à mort par pendaison ont été prononcées en 1948 dont celle de Hirota, accusé plus particulièrement des atrocités perpétrées en Chine
Récemment, les jeunes chinois ont exprimé leur colère en constatant à quel point les autorités japonaises minimisaient leurs exactions dans leurs livres d’histoire.
Encore aujourd’hui, 60 ans après les faits, personne n’a oublié le sac de Nankin.
V.B (Avril 2005)
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