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orlando de rudder
orlando de rudder
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28 juillet 2008

Commerce.

J’ai voulu acheter, j’ai trouvé un vendeur : - Monsieur N’importe quoi, avez-vous quelque chose ? - J’en ai un tantinet, mais à très haute dose ! Celui qui vit ainsi ne sait pas quand il meurt
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27 juillet 2008

Souviens-toi, si tu peux !

Souviens-toi, si tu peux, c’était au temps jadis : Y avait un travailleur. Il aimait son boulot ! Alors qu’est-ce que tu veux : on a fermé la porte ! On mangeait du bifteck avec du beurre de chien ! Fabrique donc des frites, ça nous fera du bien. On va...
26 juillet 2008

Danse .

Alors, l’épure inerte des egos atrophiés tatane jusqu’aux gencives l’affectation sournoise. Mais au-dessus, ça pense, car ça ne croit plus croire. Voici le fruit juteux d’une science incongrue ! Voilà la théorie des gros gestes mentaux ! Ô, que ça va...
24 juillet 2008

Annemike

. Revenons à Bruges ! quand le ciel s’amusait. Annemike soudain décidait de courir. T’zand ! Petit désert incongru mais présent ! Un livre à lire en biais. Une infortune de vie, une insolence certaine. Elle décrivait l’ivresse. Avec mélancolie, c’est-à-dire...
23 juillet 2008

Dès le matin.

Toi ? Ressemblante ? Un matin, dès le matin ? Comment fais-tu ? Mon âme à yeux assiste à ta brève arrivée. A croire que tout est vrai dans la vie qui se passe et que les jours regardent ! Hachons le temps, menu, menu, car nos gestes sont beaux comme l’existence...
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22 juillet 2008

Les romans d’autrefois qu’on ne lit qu’en vacances

Voici venir le temps Des romans d’autrefois qu’on ne lit qu’en vacances la pluie déverse des gemmes étroites Les oiseaux se sont tus : tant mieux, ça fait du bien. Et les cigales aussi. Marre de tous ces refrains que l’on dit enchanteurs La radio matraque...
21 juillet 2008

L’épouse dans l’Eglise.

L’épouse à la vie morne s’avance sur le sol dallé de l’Eglise. L’Eternité menace et l’on se sent fugace. A quelques pas, quelqu’un prie, doucement. Avec une voix blessée. Hésitante. Comme le oui chevroté d’une mariée méfiante. Passent des gens. Rares...
20 juillet 2008

Bonheur payant !

Ne négligeons jamais les bonheurs qui se paient. Je demeure, en toute incertitude. Tout va bien. Même si ce qu’on n’a pas nous met en boule. Et que ce qui va quand de même n’amoche pas la vie radieuse. Dans le délicieux doute. Ne négligeons jamais les...
19 juillet 2008

Cruels et ingénieux !

. Moi, je n’oublie jamais mes anciennes maîtresses. L’une d’entre elle proposait d’infatigables ressources pour chambouler sa vie intime. Quiconque en vérité elle pouvait offrir un avenir immédiat à la fois cocasse et grandiose. Salace en multitude. Dénué...
18 juillet 2008

De quel droit m’aimes-tu ?

L’indifférence, ça ! Oh oui ! J’en veux ! Parce que de l’amour, comme j’en ai vu s’agrapiller sur moi, macache ! Saloperie fétide et caca dix de der ! Vacherie de honte bue ! Au moins, l’indifférence, ça se ravale, se réabsorbe et de travers puis bouche-bée....
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