Bourreau et chocolat. Et les bourreaux d'Alger en prime!

Vanille.

Y a des gens bizarres! Tenez, un fabriquant de glaces, d' "esquimaux" que l'on vendait dans les cinémas, c'est sympathique! ah,,le chocolat craquant enveloppat la crème  glacée, plaisir d'enfance...  Et le film se déroulait dans le parfum de la vanille... Délicieuses glaces!

Un glacier.

h bien, l'un de ceux  qui les fabriquait jadis, un glacier qui a donné tant de plaisir  gustatif aux spectateurs s'appelait André Obrecht. Ca ne vous dit rien? Quelques  personnes l'ayant fréquenté ne pourraient pas en dire plus. Leur mémoire fut tranchée net.

Une dernière glace?

Je ne sais pas si on continue de donner une dernière cigarette aux condamnés à mort là où elle persiste. Je ne pense pas qu'on offrait  une dernière glace aux futurs guillotinés juste avant l'heure fatale... André Obrecht, fabriquant de glaces était aussi bourreau: http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Obrecht

Envoi: A voir, ce film génial: El Verdugo de Luis Berlanga!  Avec ou sans esquimau!

PS: En Algérie, de 1947 à 1949, deux cents exécutions capitales eurent lieu sous la direction de Maurice  Meysonnier, avec son fils Fernand. En Métroppole, il y en eut beaucoup moins. Les éxécutés d'Algérie furent principalement des Algériens, beaucoup plus que des "Pieds-noirs" (ce mot n'existait pas encore)... Pour le même crime, un "blanc" sauvait sa tête alors qu'un autochtone mourrait  sous le couperet de la guillotine. C'était ça, l'Algérie Française! Encore bravo!