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orlando de rudder
orlando de rudder
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8 février 2009

"fautes"d'orthographe!

Certains osent critiquer mes "fautes" de frappe.Je suis écrivain professionnel. Je corrige donc mes manuscrits.Je sais le faire... Alors pourquoi ces"fautes"?

Mais,de toute façon, il n'est plus guère possible de faire des "fautes" d'orthographe(ce mot estcoupable!Il ne s'agitque d"erreurs!Un jour, il va falloir serévolter et cogner sévèrement tout prof ou instituteur parlantde"fauted'orthographe",collant de la morale, de la"faute", là où il n'y a que non-respect d'une norme arbitraire! Salauds!Dégueulasses!flics et curés!) sur le net : il y a des tas de logiciels decorrection orthographiques épatants.

Mais je préfère ne pas corriger mes posts! Ca révèle les pouacres,les salauds, les légers,les épais qui s'en tiennent à l'apparence et trouvent ce prétexte pour ne pas tenir compte du contenu des messages, pour critiquer hautainement avec la bassesse sordide de la connerie puriste à l'âme de serpillière moisie...... On vilipende l'orthographe (on en trouvera l'histoire résumée dans mon ouvrageLe Français qui se cause...Je connais mieuxcedomaine que tous ces critiques merdeux! sinon,je n'agirais pasainsi!)cequi permet de mépriser,encore et toujours en révélant sa profonde nature de moindre, d'insuffisant,de subhypoinfralambda répugnant!

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Commentaires
M
Merci pour ces lignes superbes, et la liberté de votre ton ! j' adore !
L
Excellent ! oh que j'ai du goùt, en lisant ce dernier billet ! Vous y exprimez tout ce que je ressens devant ces minables commentaires qui fustigent le "s" de trop ou l'accent oublié, et ne voient jamais l'essentiel, qui pourtant crève les yeux : le FOND. <br /> Ah, mais le "fond", mon cher, n'a plus pignon sur rue. On lui préfère la forme, accessible à n'importe qui. Le mécanisme de l'écriture est facilement corrigible. Ceux qui ne voient pas plus loin que les trois premières lettres de l'alphabet s'y accrochent désespéremment, incapables qu'ils sont d'aller jusqu'à Z, au fond des choses.<br /> <br /> C'est la grande querelle de ce début de siècle.
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