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orlando de rudder
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15 février 2008

Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat?

On peut vivre sans ça, mais pourquoi ? Pour tartiner joli avec des stries parallèles, il faut des dents de scie ! Je n’en ai pas sous la main pour lui mordre les fesses ! Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? On peut commencer au couteau plat : ça étale bien. Ca comble les cratères de la mie. Après, avec les dents d’un autre couteau, on peut onder. C’est au monde ! Notez que les miettes proviennent de la croûte, malgré leur nom ! Les puristes n’y prennent pas garde. . . Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? La vie et la mie se ressemble sauf une lettre. Mais elle est au début, à la fin ,c’est pareil. Les parallèles aussi. . une étude, il faut. La mie de la vie diffère de la croûte de la voûte, même si c’est une œuvre d’art dans une église. Même si la peinture s’émiette. Même si la religion s’encroûte, empâté dans la masse de couleur effritée. Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? Douleur, couleur… Même mot, presque comme ; presque et fresque dans l’église et non fraise dans l’éclisse puisque c’est sur le seins que s’égrènent les akènes et que le saint des saints n’est pas une aigle assise dans le temple amplement décoré d’icônes et de saint Jean qu’adorent les gens qui passent et donnent de l’argent. Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? Qui prie la scie ? C’est comme la vie et la mie. Mais avec deux lettres identiques. Au début. On tartine les unes et les autres… Etalons la douleur comme une couleur à vif. Au pif ! Ma mie c’est toute ma vie, ça me scie et je prie à l’envi que la vie soit ainsi aussi tard que possible ! Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? Quand je mords les fesses de ma mie, je sens le vie bouillonner dans le désir de gésir tous deux. On peut vivre sans ça. Avec des hauts et des bas. Comme des montagnes russes. En dents de scie. L’Oural s’affûte, phallus à foutre ! Chaîne… Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? On n’enchaîne pas le beurre. Les montagnes n’ont besoin de personne. La vie en dents de scie compte pour du beurre. Le leurre est au beurre ce que l’art est au lard. Cochon qui s’en dédit, fût-ce en dents de scie dans les montagnes russes ne sont pas de la tarte à couper au couteau.. La roue tournerait mal que ça causerait des crasses ! A l’occasion l’Amour est un fleuve sans corail, ni oukase ! Oralement cocasse de l’Oural au Caucase? On peut vivre sans ça. Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? A l’occasion, parfois, on peut vivre sans ça, mais un bon couteau plat peut occasionner des accidents autant qu’une lame aux dents de scie… Occident, ô patrie des couteaux en inox ! Fussent-ils à scie ou à fil plat. Ou à soie du dos aussi à dents. Qui affile le fil affûte la denture ou aiguise le tranchant à sa guise ou ronchon ! Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? Et puis finalement je lui mordrai les seins, on sera face à face à la fin des fins ! Car la fesse sans cesse ça fait des marques de dents. De scie. Et ses hanches en éclisses me seront une église pour ma prière profane ! Ainsi agirai-je pour étancher ma soif si peu humble ! Et aussi ce sidérant désir insistant à loisir par l ‘instinct incisif et l’instance du rut. Suave est la source, fente en fête, parfaite et non feinte, ce temple en pleine chair qui me tente amplement tout autant qu’il m’entête car j’y pense tout le temps ! Peut-on vivre sans ça ? Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ? Je garde mes deux mains non plus à dessein de lui prendre les seins mais pour pétrir ses fesses tandis que, ailes à part, on est comme des anges parallèles au même tout deux dans l’appareil qu’on dit simple ! Et que du même au même la pareille soit rendue par qui aime qui l’aime ! Aimanté par l’aimée, l’amant aime l’amour qui les mène à son tour à la même passion qui se sème d’elle-même. Qui a dit que la vie se beurre au couteau plat ? Qui a tu que le beurre se strie au couteau scie ?
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Commentaires
S
Bravo!<br /> C'est beau et absurde comme du Devos!
E
mordre la vie en dents de scie . Et lui donner du relief ainsi . C 'est quasi vertigineux , un peu dangereux, ohhhhhh siiiiii. C'est la vie , la vie en vrai <br /> Un jour quelqu'un m' a écrit frapper fort ...J'ai fait comme il m' a dit .
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