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orlando de rudder
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23 janvier 2008

A celle que j’ai toujours salement voussoyée…

Ô Madame, divine acolyte ! J'espère que votre belle frénésie déferlera d’encore plus belle, ce que vous êtes à chaque instant ! Dans votre lumière coquine, qui devient infinie, avec ce regard là, écoutez mon désir ! Vos mérites plumardiers sont d’une grâce solide, intransigeante, perfide, insinuante, y a qu’à y aller ! Ô Madame, j’ai tant de noms pour vous, des plus odieux aux vrais et des jolis aux crus ! Je suis fidèle à cette précieuse grâce : j’observe le merveilleux précepte qui veut qu’on rate sa femme dès que l’on a un maîtresse digne d’abois, de feulements et de clameur. Ainsi parvenons-nous à telle félicité pour laquelle vous me faites renaître… Ô Madame, soyons des territoires où se marquent les dents : Dessinons les griffures en toiles d’araignées. Chaque centre en sera dégustation fertile. Ô Madame ! Nos voluptés promises font de nous des élus ! Celles déjà acquises nous ont rendus divins. Madame donnons- nous-en à cul-joie puisque le cœur se mange et se dévore en salade épicée.
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