10 décembre 2007
Cœur-métro !
Utopie, moi je dis ! Parce que non. C’est ce qu’on vit, en queue d’espoir. Un jour me poussera un vrai coeur de métal, comme un métro qui passe ! Et j’irai loin de l’Utopie. Parce que non.
Un métro dans la cage, comme un canari qui ne serait pas jaune ! Un métro enchanteur au milieu des côtes. Parce que non. Pour aller loin. Station mon cul, et mon âme en correspondance. Loin.
Il y aura des grèves, des flots de sable mémorial. Parce que non. Il y aura des lignes à sauter et des portes automatiques trop pressées de trancher. Parce que non. Utopie, moi je dis !
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