Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
orlando de rudder
orlando de rudder
Publicité
Archives
3 décembre 2007

Platitude du jour.

Que songé-je avec délicatesse et une somme de propos, in petto de moi même, imopectorisant, quand ma langue française ramène sa fraise en moi ? Oh, je ne me mettrait pas en abondante littérature, ni en fureur amère ! J’en vieillis déjà, rides, ô pictogrammes qui racontent le sens qu’on pose après, pour voir si l’in décode à plein tubes ou nenni ! Non. Je songe avec délicatesse et cetera divers que quand même, il nous faudrait plus d’amour. Du dentu. Du qui bat comme un coeur. Pas de l’amour moustique à la Dalaï-lama, bidon décoratif pour grande âme plus que pro. De amour à la con, du malingre et qui pue, ou du gras qui suinte. Qui cogne ? Certes ! Mais pas avec une fleur, ou alors une rose aux gigantesques épines qui is a rose arising…Non, on ne frappe pas avec une fleur, quand on est un vrai cœur, qui cogne dru dans la cage,,oiseau ébouriffé avec du sang partout ! On ne cogne pas avec une fleur, car le pot fait plus mal. Surtout s’il est de fer comme un vieux bol de riz De l’amour encore plus. Pas du qui s’exhibe en religions diverse.Du qui hurle en silence et qui ne se voit pas. Pas de l’amour glucose,mais cacao amer, savoureux, précieux et qui se dit si peu et ne dissipe pas son énergie féroce pour de petits rien bêta complasamment bonaces. Voilà ce que je songe in pectoris de moi. Introspectorisant comme un rhume tenace, l’amour qui m’escagasse, je ne vous dis que ça. C’est con, chichi navet: Tant pis, c’est comme ça !
Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité