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orlando de rudder
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22 octobre 2007

Gras du ciel.

Le temps que je vois vient de la couleur. Elle dure longtemps. Puis elle est crachée. Elel vaque parmi les durées inhospitalières. Puis elle choisit ses terrains Ses migrations Ses communautés,. Mes yeux. Pour me faire voir le temps.

Il y a parfois colonne de fumée Et le vert de l'histoire. Madame Loth se retourne. Il n’y a plus de chemin. Moi j’ai encore vu les hêtres tenaces qui bordent la route. Alors qu’il n’y a plus de route. Juste du temps. De la couleur. Et le gras du ciel bleu.

Avec des menaces de grosses orgies qui révulsent les saints grossiers qui puent. Et qui permettraient de parvenir à l’arrêt qui nous dépossède du fait d’être un, pas deux. Celui que l’on vouvoie. Rien qu’en se mélangeant le cul ! Fricassées corporelles, facéties viscérales, solitude-ribambelle ! Blancs de poireaux tout neufs !

Tantôt je ne penserai pas qu’ils flottent les menus propos d’un bon port rassurant. Avec mon potable de téléphone, je n’ai plus personne au bout du fil. Rien que la voix. Parfois celle de l’amour qui bombarde. Le cœur devient alors un bigarreau géant ! Et le noyau qui germe finira en aorte !

Dangereuse canonnade. Inutile pour les veaux, pour les pour les dieux. .Pour je ne sais plus quels enfouis et enclos, perdus dans leurs manèges bouffant la peau des autres pour tourner comme du lait. En ne sachant pas voir la couleur du vrai temps. Avec de bonnes lunettes quand le soleil beurre tout de sa couleur bien grasse !

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