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orlando de rudder
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23 octobre 2007

Féminisme en marche!

Enfin.

L'épidémie d'infanticide continue. Celle des maltraitances d'enfants par les mères aussi. On commence enfin à parler de la pédophilie des femmes...

Humaines.

Ceci semble paradoxal, mais c'est une victoire du féminisme. De l'égalité en marche. Car mépriser les femmes ou les porter au pinacle revient au même: c'est les mettre à part, en dehors de l'humanité "normale" du mâle étalon (bon, d'accord, un peu complaisant, comme formulation...) ! Alors, découvrir, par le mauvais côté, qu'elles sont HUMAINES et capables, elles aussi de saloperies immondes est salutaire! Et cela renforce la grandeur de celles qui le méritent! A quoi bon faire le bien si l'on est une sainte au départ?

Côtelette.

Oui, les femmes peuvent être des criminelles dégueulasses. Et non pas seulement des saintes ou des putains! Etonnant, non? De même elles peuvent être des scientifiques superbes, des ingénieures autant que de bonnes ouvrières ou employées. On approche du réel et de la reconnaissance des femmes en tant que telles: de la même espèce que les hommes et non venant de Vénus ou d'une côtelette pas cuite n’ayant pas encore trouvé sa garniture de pommes pas cuites non plus (vous avez vu comme on peut pratiquer l’esbroufe en écriture ? J ‘ai fait fort, là ! Révoltez-vous, bon sang, quand on vous écrit ce genre de formules !).

National-Féminisme

Mais il a fallu attendre. Parler de la violence des femmes, il y a deux ou trois ans, c'était se montrer forcément macho! Le National-Féminisme victimaire à la Dieudonné ameutait la Nation-Femme et ça hurlait en chiennes de mégarde. Un rapport bidonné sur la violence conjugale évitait soigneusement de parler des violences familiales, nécessairement féminines puisque les femmes seules sont majoritairement en contact avec les mômes ou les vieux martyrisés ou non. Les hommes ne sont pas forcément meilleurs, mais pour battre un enfant, il faut qu'il soit à portée!

Pratique sociale.

A ce sexisme angélique, ajoutons qu'il y a la pratique sociale. Les enfants sont TOUJOURS (rares exceptions et après procédures âpres)confiés à la mère, quelle qu'elle soit. On se résout à séparer la mère et l’enfant quand il est trop tard, que le trauma est profond ou que l’enfant est mort. Et c'est ainsi qu'on voit des infanticides ayant lieu alors que les services sociaux s'occupent du foyer à risque! On laisse l'enfant à la mère au maximum par principe. Ce qui est une atteinte à ses droits, une complicité d e maltraitance ou de meurtre, le cas échéant.

Double sexisme du social.

C'est le "double sexisme" du social: On méprise les hommes, d'une part (et c'est pour cela qu'il faut une parité parmi les travailleurs sociaux) tout en considérant que les femmes sont obligatoirement faites pour être mère: c'est encore un machisme détourné! Ou plutôt de la bien-pensance bourgeoise et planplan! Et un mépris des femmes réduites à une fonction biologico-affective handicapante. Avec, sous -jacente, l'idée fascisante de "nature"! La femme forcément mère, ça sent l'écologisme à l'ancienne, bien-pensant, ravi d'être con comme un arbre, un oiseau ou un panda! L'écologisme, quoi, qui décide de la nature et en fait un monstre!

Légions.

Déjà on avait compris et sous -estimé que les "hommes battus" représentaient "seulement" (oui, cela a été dit!!!!! et même !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) Un quart des violences conjugales, grâce au rapport, pourtant truqué dans l'autre sens. Maintenant, on peut enfin comprendre que les opprimées agissent comme tous les opprimés! Ca résiste et ça cogne, les malheureux, de tous les sexes! C'est pas gentil, les gens qui souffrent! Les conduites violentes des femmes sont légions.

Un fait !

Et, même si, dans les classes éclairées de la vraie élite, le statut féminin est quasi égalitaire, il n'en est pas moins vrai que ce n'est pas le cas chez les pauvres, ces méchants! Il faut le dire car le même rapport et l'idéologie ambiante veut que la violence conjugale ou familiale soit de tous elles milieux! Commode! Il ne s'agit que de vilipender les hommes! Non, ça cogne plus chez les pauvres! C'est un FAIT! (Vous avez lu ? Et pourtant, en formulant ainsi, péremptoire, j’emploie la forme de la phrase fausse ! Eh oui, quand on insiste ainsi en disant « c’est un fait », c’est bien souvent que rien n’est assuré !  Hi ! Hi !).

Animalement.

C’est dommage que ce soit dans l’horreur que l’on découvre l’égalité. Mais ce n’est pas si mal ! Ca secoue les conformistes et les autres savaient déjà ! Il n’en et pas moins vrai que l’Humanité est sublime et que la nature est le lieu de toutes les violences que l’homme tente désespérément d’abolir en luttant contre ses tendances NATURELLES héritées des bêtes dont il descend ! Hélas, certains hommes certaines femmes continuent à se conduire animalement, (A Valogne, on voit uen conduite de chatte, comme chez l’ignoble Courjault qui plaît à Mazarine et qu’un comité soutient !) font la guerre, tuent et torturent, pratiquent l’esclavage, la pédophilie meurtrière, le viol comme dans le monde animal ignoble soumis à la loi de la nature, de la jungle, modèle du libéralisme et de tous les fascisme. La violence seule et écolo ! La paix est un rêve humain : aucune bête ne la désire !

Ni même ne l’imagine ! 

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