Une culture de l'universel!

On n' a guère besoin d'identité quand  est soi-même!

L'identité? C'et se perdre! IL vaut mieux parler d'appartenance et de fidélité. On est Breton, Slave, Pictave, Nerviens  Gantois ou Pascuan, certes,ou cosmopolite métissé... 

Et c'est bien, c'est  épanouissant si 'on n'en fait pas tout un fromage! Mais ça ne vaut rien si cela détourne de l'universel! Le nombrilisme identitaire est toujours destructeur, peut déshumaniser et à fait ses preuves en tant que fléau! Ouvrons nos coeurs! Et ça ne se fait que par la culture, qui porte toujours ses fruits!

Et c'est bien ce que dit un journaliste algérien fort bien inspiré:

On donne trop de définitions à l’intégration. A mon avis, celle-ci ne sera réelle que lorsqu’un jour, en France,  un Kadam ou un Ali feront partie des spécialistes reconnus et médiatisés de l’art roman, la littérature polonaise ou des relations entre l’Europe et les Etats Unis .

Akram Belkaid, « A quand un Beur spécialiste de la littérature polonaise » ?,  Le Quotidien d’Oran, repris par Courrier International, 23 au 29 juin 2003.

Connaître la culture d'apartenance es nécesdsaie.Mais s'en obséder, ça tue! Ca tue ce qui est soi en soi! Sortir de soi, c'est devenir soi-même, forger un ego généreux, succulent et devenir une personne d'amour et d'offrande! Tous les hommes sont ego!

Vive l'humanité! Vive l'Inde libre et mort aux vaches