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orlando de rudder
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18 décembre 2006

Encore PP le moqueur! Youpi!

On a beau essayer d'être aussi nul que lui, d'écrire des poièmes plus tartes, discordants, malavisés que les siens, on est toujours meilleur que GMC! Mais nous, on se marre.Ce donneur de leçon, ce triste sire qui insulte les gens, cet inculte réfugié dans la mystique de bazar nous a trop agressé. Il a trop mépisé, bafoué, injurié pour qu'on laisse passe ses outrecuidances et sa hargne.Alors on continue à se foutre de lui! Et voici un beau poème, une "géhêmcéïade" joyeuse de PP le moqueur, dont le blog est épatant:

Pour GMC le roi de l’oxymore(-de rire ! bien entendu !)

En réponse à sa
“Pluie sèche”

Je propose :

Soleil humide, mouillé, trempé

Soleil humide ! Ces pensées,
Que rien n’attelle à nos charrettes,
De nos semelles compensées
Soleil humide ! chasse les mouettes !

Soleil mouillé, dans ton mouchoir
Se sont couchées toutes nos peines
Et la nuit sur son grand perchoir
Soleil mouillé, vide nos veines,

Soleil trempé de désespoir,
Nous irons armés de wassingues
Te sécher au fond du trou noir.
Soleil trempé, tu nous rends dingues !

Posté par PPle Moqueur, 17 décembre 2006 à 18:55

Et, pour rire encore plus et à "gorge d'employé", il faut aller sur le blog de GMC! Ses poèmes sont pires que nos pastiches! Et puis, tiens, encore un pastiche de GMC dû à PP le moqueur, qui, au passage, égratigne ce brave MAurice Carême:

Votre, enfin, notre ami G.M.C. donne dans le “frimas-rimas”, le “poème-congelé”, bref, nez qui coule et fuite de rimes ... allez-y voir c’est délicieux, mais n’oubliez pas vos kleenex !

Et puisque c'est ici le lieu, donnons donc, nous aussi, dans le "rimoir" givré minimaliste.

Frimas, lamas et falbalas

Sur bord de la patinoire
si noire
J’écris un doux épithalame
à lame
La fiancée se réfrigère
légère
Et le sybarite s’égare
ah ! gare !

Ah oui ! Vivement le printemps
d’antan
Qu’il revienne ainsi qu‘un satyre,
s’étire !
Exsudons les vieux pardessus
moussus
Sous notre surplis d’aigrefin
enfin !

GMCARÊME

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Commentaires
B
"Et, me disait Otto Ganz, comment reconnait-on un belge dans une partouze?<br /> C'est le seul qui ne fait l'amour qu'avec ses deux femmes."<br /> <br /> Tout à un prix, même la polésie<br /> alors la médiocrité... faut accepter, parfois, qu'elle soit trop onéreuses pour nos bourses.
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