La résistance au tri sélectif.

Pour enrichir les industriels on fait travailler les gens gratuitement: ça se nomme tri sélectif. Ca sert aussi, politiquement, à briser l'insouciance tranquille : on jetait ce qu'on a à jeter, on s'en foutaot, on n'y pensait pas. Bref, ce n'était pas un problème,on vivait bien.

Maitnenant, atention: il faut changer nos gstes! Voire supporter de nouveaux contrôles, un nouveau flicage (c'est l'un des buts de l'écologisme; contrôler, créer l'homme qui exécute  sans réfléchirels gestes ordonnés par la raison gouvernante, en acceptant l'argumentation du toujours "prouvé scientifiquement"). Une nouvele perte de son quotidien.Une mesquinerie.

Beaucoup de gens,particulièrement les "gens du peuple", ressentent confusément cet état de fait et se révoltent.Pris, dominés pa el langage écolo, totalitaire et "scientifique", ils ne peuvent répliquer. MAis le tri sélectif est ressenti comme uen agression pour beaucoup d'entre eux. Une idée bourgeoise. Et l'arrogance des écolos, surtout à la campagne,leur mépris envers les paysans fait le reste! Comme l'un de leur gestes les plus moche: détruire une récolete sous prétexte d'OGM! Pr leuyr propagande, on ne saura pas avant longtemps s'ils sont vraiment dangereux (ce qui est peu probable) ou s'ils peuvent aide à faire reculer la famine: les écolos nuisent généralement aux pauvres, aux paysans, aux pêcheurs et servent le lobby bio.

J'ai fait une petite enquête amusée à propos de ce tri. C'est rigolo! On sent l'intrusion dans el qultidien, dans l'intimité d'une idéologie que l'on sent hostile..Certains se révoltent ouvertement et... trient! Mais attention: ils mélangent tous leurs déchets dans le même sac en plastique en ôtant les enveloppes et tout ce qui pouorrait permettre de els identifier.Ensuite, ils jettent leur sac en vrac, dans n'importe quelle poubelle avec la satisfaction d'avoir posé un geste de liberté, de révolte, de délinquance anar!

Certains, par peur d'être surpris, prétendent qu'ils mettent leur sacs-poubelles dans le coffre de leurs voitures et vont les jeter n'importe où, "pour faire chier els écolos".  D'autres proposent de tous les entasser devant la Mairie ou devant chez tel ou tel notable. D'autre enfin pensent que puisque les industries profitent des déchets qu nous appartiennent, ils doivent payer, nous les acheter et donner de l'argent en contrepartie du travail que constitue le tri. On envisage même de refuser d payer la taxe sur l'enlèvement des ordures ménagères, puisqu'on retraite les déchets...

Bref, encore confusément, les gens ressentent l'aspect totaitaire de l'écologisme, de cette prétention à donner des leçons de nature... Ce n'est pas encore uen vraie résistance, mais cela présente l'spect tendre et roigolard des PiedsNickelés contre la "froideur en sabots" des petits-bourgois écolos, obsédés par la fin du monde et leur petite santé.

Je pense qu'il faudra un jour établir une pétitionpour rétribuer le tri sélectif.Que chacun d'entre nous exige june contrepartie pour ce geste contraignant et ressenti comme tel. Que ce tri ne profite pas seulement aux industriels. Qu'ils ne nous emmerde pas! ET que l'écologisme arrête de nous harceler! Voit-on ce qu'il y a de pervers dans ce mépris des gens, dans ce catastrophisme?

Le réflexe de vraie santé se voit ainsi, ici comme ailleurs, par des refus rigolards entre deux verrres de bière,par des homms et des femems quimangent suvent trop et mal, qui mourront peut-être plus vite que les écolos, mais qui auront vécu une vie plus simple, plus vraie, sans angoisse millénariste ou obsidionale, en sachant regarder un écureuil, même si c'est en rotant une Stella! Ils sont les vrais écolos, homme, femmes, fils de la faim!,parfois beauf' (et alors) ou chasseurs mais vrais.

Hélas et tant mieux, ils militent peu et ne se :obiliseraont pas contre le tri sélectif qu'ils désapprouvent.MAis il y aura, di ci, de là,  de petites farces: poubelles entassées devant une maison bourge, décharge sauvage, provocatrice et bien visible...la santé, quoi! 

Peut-être qu'un jour les écologistes seront fort surpris de vir comme on les méprise. Ils sont "le bien", "le vrai" le "prouvé scientifiquement" (on va bien rigoler d'inci cinquante ans quand tant de choses seront rendues caduques et fausses par la science en progrès!)... bref le totalitarisme. Et, comme les soldats de Bush en Irak, ils ouvriront de grands yeux en disant: "on croyait que tout le monde nous aimait, on est bien, nous"... Hé bin non!

Et si l'écologisme pensait un peu à ce que signifie cette culpabilisation de l'homme, cett' angoisse obsidionale, ce millénarisme religieux? Cette dissociation de la personne entre la culpabilité "native", "ontologique" de l'humain et le manque de confiance en la nature, si débile qu'elle sera détruite par l'homme? Un vrai discours neurasthénique, schizoïde de la fin du monde! MAis ça ne se peut pas: l'écologisme a été inventé (on sit par qui!!!!!!!) pour qu'on en pense pas! Pour qu'on subisse le "prouvé scientifiquement" qui a fait ses preuves: les écologistes "historiques"  ont éliminé "naturellement"  les "parasites", les "dégénérés", "erreurs de la nature" dans pas mal de camps tous bio. Et ça va repartir! Si ça continue, c'est bientôt, d'ici vingt ans... LA nature, c'est la guerre constante! Ouvrez els yeux! Aimons la quand même et autrement, ctte fascinante peau de vache, amie, ennemie, nourriture et poison! Ce qui a une autre gueule que la "Mère Nature" gnangnan du paganisme mou! C'est beau, la nature, tendre et cruel, bien plus qu'un chat domestiqué... et castré par les zamidézanimo, autre ecologistoïdes inhumains!

ale pensée moche, avec  la constance du "bien"... quasiment perverse! Sarkozy seul, en France,  nous montre autant de certitudes autosatisfaites!

L'homme et le fils du doute et de la faim!

Résistance!