Violences conjugales, familiales, rurales...

NEt progrès: On va (je l'ai vu sur les actus Google: il y a beaucoup d'article et plutôt que de les mentionner tous, je vous y renvoie: c'est plus clair) prendre des mesures de prévention, d'sasitance et ds sanctions nouvelels dans le cas de violences conjugales.De plus, on parle aussi des hommes qui en sont victimes sans dire "seulement" parce qu'il y en a moins (un homme tous els 14 jours, un taux étonnant tout de même).MAis bien sûr, ils sot aussi "auteurs de violences. LEs femems violentes existent aussi, c'est reconnu.Mais on n'en connaît pas le nombre car les "hommes battus" portent rarement plainte. De toute façon, il semble que les femmes soient les principales victimes...

Un problème demeure: l'idée que ce soit "dans tous les milieux"... hum... LEs femmes de millieu aisé portent plainte plus facilement que les pauvres... Et puis c'est bien tentant, encore et toujours d'évacuer le "social"... Et l'on sait qu'il y a au moins des milieux à risque"!

MAis, bon, ça avance! LA situation est encore épouvantable, mais il y a de l'espoir...

Autre chose: La méthode sociologique, tele qu'elle est illustrée disons par Durckheim, tient compte des "variances saisonnières". Des phénomènes comme le suicide, comme il l'a montré en son temps,  sont plus fréquents à certaines époques de l'année, durant certains événements. Et, si les sociologues ont sans doute anlysé ces faits, on ne les porte pas assez à la connaissance d'un public plus large. Ni même des professionnels de la protection sociale. Ce serait, sans doute, un bon outil de prévention. Un signal pour accroître la vigilance et, peut-être éviter des drames... Méfions-nous des chiffres bruts! Surtout lorsqu'on pourrait agir contre le malheur, pesant, sordide, persistant...

Un détail pratique me chiffonne: le numéro d'appel d'urgence, facile à se remémorer (4 chiffres) sera au prix d'un appel local... J'ai vu, plusieurs fois, le cas de feme qui ont fui d'un seul coup, comme lles étaient, parfois en chemise de nuit dans un coin où la violence familiale est presque une tradition... Si on n'a pas de carte pour la cabine téléphonique... Quant à frapper chez les voisins, c'est souvent trouver porte close. LEs communautés isolées, par exemple, ne veulent pas intervenir, faire des vgues, contrarier le voisin! Il faudrait que ces appels d'urgences soient gratuits.

Et aussi étendre la notion de viloence conjugale à la réalité plus large de "violences familiales": hommes et femmes maltraitent les enfants, les infanticides sont hélas plus fréquent qu'on le croit. De plus   les vieux ("personnes âgées" comme on dit) sont, d'après la presse fréquemment maltraités. La violence va évidemment du plus fort au plus faible! ET le pire existe, genre: l'homme bat sa femme, qui bat le gamin ou le vieux, le gamin bat le chien... A moins que les deux épopux cognent sur les deux autres  vieux et enfant... Il faut connaître la misère rurale pour s'en rendre compte! MAlgré tout, le silence finit par être brisé dans certains villages... Là où il n'y a plus d'espoir et où les sondages ne se pratiquent pas...

La surexploitation politique et médiatique du problème des banlieues fait oublier celui, plus grave, et de beaucoup, plus profond, plus sordide de la France rurale: les déclassés y sont dans des situations monstrueuses.Et, à côté de familles paysannes stables et luttant pour vivre, parce que le gâchis économique leur rend le quotidien difficile,  on trouve des malheureux dans une monstrueuse détresse. C'est sans doute le plus grand problème social actuel. LEs sociologues le dénoncent depuis déjà longtemps, en founissant des études fiables et fort inquiétantes! ... Car là, bien sûr, toutes les violences ont cours... Et sont considérées par leurs auteurs et par leurs victimes (!!!) comme "normales"! Il faut que ça aille très loin pour qu'on aille voir les gendarmes!

CE drame se déroule dans l'indifférence générale.

En attendant, je pense que, dans tous ces cas la gratuité des appels d'urgence et autres est nécessaire...