Repecter les religion de quel DROIT?

Respecter des religions?Pourquoi? En quoi la religion est-elle plus respectable qu'autre chose? Elle l'est OBJECTIVEMENT moins, c'est lamort et je ne vois pas comment on pourrait représenter l'Islam,par exemple,  autrement que par une arme, puisque l'un de ses emblèmes est un sabre! Une religion est une opinion, comem une opinion politique (en moins noble, certes, puisque basée sur la trouille de lamort) et doit puvoir ête caricaturée, critiquée, vilipendée au même titre!

La crise interne de l'Islam,la haine entre chiites et sunnites qui déborde et nous nuit ne doit pas permettre qu'on interdise les caricatures de l'esclavgiste Momo. Rappelons que les catholiques et les protestants sont, certes, furieux,et c'est normal, quand on ridiculise le Christ ou la Cène, mais menacent rarement de mort et tuent encore plus rarement aujourd'hui: aussi leurs religions sont-elmes fortes, acceptables tant qu'ils ne dépassent pas les bornes. Ceci grâce à la laïcité qui protège chaque religion des haines circumvoisines d'autres religions. Car toute religion est un blasphème pour les autres. L'Islam n'en est pas là, qui constitue aussi un facteut majeur de sous-développement! L'hypersensibilité à la moindre critique est un signe de grande fragilité et de dangerosité majeure. LA référence à un passé somptueux exacerbe la honte de la médiocrité actuelle.

Nous devons nous méfier des religieux. Ils peuvent devenir aussi fanatiques qu'un vulgaire communiste. D'ailleurs, il sont le modèle du fanatisme coco. Dès qu'une religion parle d'amour, préparons-nous à compter les morts!

On peut respecter les hommes sans respecter leurs croyances. Croire est bas de plafond: ça crée un ciel borné à dieu Berck! De l'air!

Nous avons besoin de vertus plus hautes.

Comments

[thor]

Je sais je me raccroche à ce texte. J'ai 'impression que c'est nécessaire. Je l'ai guetté comme un phare dans la nuit, comme une bouée sur un chenal. Mais où sont-ils? Les "justes". Ceux qui devraient monter en première ligne et avec la dernière énergie se battre contre l'insidieuse médiocrité. Avez-vous entendu, peut-être votre ouïe est-elle plus fine que la mienne, les intellectuels, chroniqueurs, ministres de tout poil et consorts (mais pas trop c'est risqué...) défendrent la liberté d'expression d'un professeur de philosophie ( en fait, c'était juste un homme, un citoyen...)? Moi non ( à part BHL et quelques "modérés" de la liberté...) J'ai entendu le pape s'excuser ( quel faux cul celui là!) Mozart qu'on assassine, le fantôme de Shakespeare qui songe à assassiner Shylock,et des pisse froid dire qu'on peut s'exprimer librement mais ça dépend de ce qu'on dit... Vous suivez? Moi non!!! Un homme est privé de vie (tant qu'il en a une) dans le pays des droits de l'homme et c'est lui qu'il faudrait montrer du doigt. Peu m'importe si son propos fut brillant ou de la soupe. Si l'un d'entre nous veut contester qu'il le fasse par le débat, la justice, le droit de réponse ou je ne sais quelle "arme" de notre bel "arsenal" républicano/démocratique. On oublie de s'élever contre les procureurs/bourreaux auto-proclamés, c'est déjà une faute de goût. Qu'on manque de solidarité envers notre propre liberté, c'est soit de la trouille soit de la cécité. La même qui ont parfois mené dans des camps. Qu'attend -on pour voir, pour dire et relever cet homme qui mériterait la mort??? Et la mort d'une société et des autres. Que pensent certains musulmans qui sous la férule (ou kalachnikov...)d'obscurantistes d'Alger, de Téhéran, de kaboul, Bagdad, crèvent et observent les signes d'espoir de nos sociétés de libre expression. En se taisant. En négociant notre tranquilité, c'est eux qu'on assassine...