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orlando de rudder
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20 septembre 2006

Si tu ignores ta violence.

Si tu ignores ta violence, me disait un vieux malappris, elle te rongera, cadencée, rythmant ta vie comme l’élan d’une carie qui se réveille, d’un cor au pied surinfecté, d’une crise de goutte carabinée ou d’une mort lente et durable. Si tu ignores ta violence, elle te reviendra en pleine gueule et tu sera encore odieux, malfaisant, insipide, hargneux, boule d’animosité veule, bouse putride et menaçante avec le langage lénifiant d’une douceur falsifiée d’une paix à sourire béat cachant une angoisse affolée argumentant par arguties et jamais tu ne vivras bien.

Celui qui trahit sa violence finit toujours par s’entretuer, là, tous ceux  au-dedans de soi afin de pouvoir accomplir la mission de nuire aux autres. Celui qui trahit sa violence ne peut jamais faire du bien car chaque acte de bienfaisance devient un viol au quotidien ! Celui qui trahit sa violence inventera tous les moyens pour que la vie devienne basse ou religieuse tout éjusdèmement.

C’est en affrontant sa violence que le poète griffe la feuille que le peintre impose el silence à la toile qui ne demande rien !  C’est en affrontant sa violence qu’on en tue que de animaux parce que sans cela nous serions des entretués fondamentaux. Et c’est ainsi qu’avec violence, et même la tendresse qui mord, loin d’être fou sans la comprendre on trouve l’amour dévorant, le feu intime, la connaissance…

Sinon la violence bouillonne dans l’âme comme dans une cocotte-minute qui va bientôt exploser et la soupape nous fait gicler des grasses vapeurs  nauséabondes.Ca pue a des bornes à la ronde. On se croit bon, on persécute, sans le savoir, par innocence très appliquée et la violence ignorée revient comme un vil naturel, bafouée furieuse. Oui elle est propre à la nature, tout fiel et haine, meurtres constants, à la nature, son  synonyme.  Dans la violence bonne à tout faire de la nature qu’on ne veut pas voir, . chaque seconde est un suicide, chaque naissance un double meurtre. L’Humain s’acharne à inventer par cette violence utilisée la prix, cette incongruité pour tout ce qui vit, sauf pour lui…me disait un vieux malappris, elle te rongera, cadencée, rythmant ta vie comme l’élan d’une carie qui se réveille, d’un cor au pied surinfecté, d’une crise de goutte carabinée ou d’une mort lente et durable. Si tu ignores ta violence, elle te reviendra en pleine gueule et tu sera encore odieux, malfaisant, insipide, hargneux, boule d’animosité veule, bouse putride et menaçante avec le langage lénifiant d’une douceur falsifiée d’une paix à sourire béat cachant une angoisse affolée argumentant par arguties et jamais tu ne vivras bien.

Celui qui trahit sa violence finit toujours par s’entretuer, là, tous ceux  au-dedans de soi afin de pouvoir accomplir la mission de nuire aux autres. Celui qui trahit sa violence ne peut jamais faire du bien car chaque acte de bienfaisance devient un viol au quotidien ! Celui qui trahit sa violence inventera tous les moyens pour que la vie devienne basse ou religieuse tout éjusdèmement.

C’est en affrontant sa violence que le poète griffe la feuille que le peintre impose el silence à la toile qui ne demande rien !  C’est en affrontant sa violence qu’on en tue que de animaux parce que sans cela nous serions des entretués fondamentaux. Et c’est ainsi qu’avec violence, et même la tendresse qui mord, loin d’être fou sans la comprendre on trouve l’amour dévorant, le feu intime, la connaissance…

Sinon la violence bouillonne dans l’âme comme dans une cocotte-minute qui va bientôt exploser et la soupape nous fait gicler des grasses vapeurs  nauséabondes.Ca pue a des bornes à la ronde. On se croit bon, on persécute, sans le savoir, par innocence très appliquée et la violence ignorée revient comme un vil naturel, bafouée furieuse. Oui elle est propre à la nature, tout fiel et haine, meurtres constants, à la nature, son  synonyme.  Dans la violence bonne à tout faire de la nature qu’on ne veut pas voir, . chaque seconde est un suicide, chaque naissance un double meurtre. L’Humain s’acharne à inventer par cette violence utilisée la prix, cette incongruité pour tout ce qui vit, sauf pour lui…

Si tu ignores ta violence, continuait l vieux malappris, tu seras le malheur du monde, la guerre toujours recommencée tandis que tu célèbreras la paix qui est ton ennemie. Car tu seras violence toi-même, pas plus qu’un Christ, ça va de soi, mais aussi bien qu’un assassin su type le plus vraiment sournois. Si tu ignores ta violence du deviendras un vrai salaud.

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