15 septembre 2006
Millefeuille
L’exercice du temps passé et un grand jeu de millefeuille. On feuillette les lames fragile de ce qui ressemble à des pages. On les tourne, elle s’effritent. Voila qu’il nous faut s’épuzzler afin de reconstruire l’indestructible épars en miettes agaçantes comme des cheveux dans le cou quand on sortait des anciens salons de coiffure pour hommes ? Le temps toujours là, bien en face, qui nous aura s’est fait une tronche de chèque en bois et l’importance de chaque moment s’évalue à loisir. Ou pas. La souvenance s’attise.
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