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orlando de rudder
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27 août 2006

Hommage à Topor

Topor nous manque! Voici un joli souvenir!
Max Lampin

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

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Note préalable importante [modifier]

Attention : Cet article ne respecte pas le principe de neutralité. Il est du reste, par construction, impossible de respecter le principe de neutralité concernant Max Lampin. Pour vous en convaincre, vous pouvez aller regarder ce site :

La vérité historique [modifier]

C'est Roland Topor qui a été le premier à révéler au public La vérité sur Max Lampin, révélant au public les turpitudes abjectes de ce révoltant personnage. Compte-tenu de l'ampleur des révélations et pour ménager le juste écœurement du citoyen devant son comportement choquant et inacceptable, cette vérité ne fut publiée que très progressivement dans Charlie mensuel, au rythme d'une planche par mois. Le personnage provoque un sentiment de nausée encore aujourd'hui.

On soupçonne d'ailleurs Topor d'être resté très en dessous de l'abominable vérité.

Il serait déraisonnable de consacrer davantage de place dans cette encyclopédie à un individu aussi méprisable.

Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Lampin »

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Commentaires
P
Topor est un génie. Son côté touche-à-tout -en France, c'est très mal vu- fait qu'il n'est malheureusement pas coté à sa juste valeur. À l'instar d'un Vian ou d'un Cocteau. C'est vrai, Topor a fourré son né dans presque tous les arts, mais dans chacun d'entre eux, a laissé un chef d'œuvre, presque par inadvertance. Introduire l'humour absurde et l'humour noir à la télévision ("Merci Bernard", "Palace" et "Téléchat", c'est lui) ouvrir la porte au film d'animation adulte ("La planète sauvage" mais aussi l'incontournable "Marquis"), scénariser un film de Pierre Richard et s'en sortir avec tous les honneurs ("Les malheurs d'Alfred"), inspirer Polanski ("Le locataire"), écrire des chef d'œuvres comme "Mémoires d'un vieux con" "Four roses for Lucienne" "Portrait en pied de Suzanne", scotcher son monde avec l'affiche du Tambour, gérer Arrabal et Jodorowsky (le mouvement Panique) et tout ça se prendre au sérieux, en s'octroyant le droit et même le devoir de pouvoir se livrer aussi à la franche déconnade, ce n'est quand même pas rien.
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