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orlando de rudder
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10 août 2006

Comme ça, pour voir!

LE trvailleur est l'ennemi du pauvre.Il lui nuit. Il l'opprime autant que le bourgeois dont, quoi qu'il dise, il est le complice et le soutien. IL n'y a pas de lutte des classe. Une grève n'est qu'une scène de ménage parfois sanglante entre partenaires. MAis le patronat veult divorcer... Il est macho: il en a marre des épouses insoumises et braillardes: on préfère eles pauvres. Eux, on peut ls cogner, ça ne gêne pêrsonne! Surtout pas l'UMP! Il est amusant que l'analphabétisme politique et le refus de l'histoire, son oubli délibéré, aillent jusqu'à ce que l'on puisse croire au libéralisme et le soutenir. Ce principal facteur de guerre, qui ressemble à la nature façon écolo, et qui, comme elle, a besoin de guerre et y trouve un enrichissement considérable et n'a pour ennemi que le travail. Pas le travailleur: on s'en tape! Il peut se révolter, on s'en fout! Il collaborera toujours, même s'il faut le temps! Là où on a encore besoin de travailler, on prend des sans papiers clandestins tant dis qu'on vire les autres, ceux qui risquent d'avoir des diplômes. Le travail, c'et pour ailleuirs, chez les pauvres des pays qu'on maintient en pauvreté... Ici, la prétendue lutte contre el chômage l'entretient dans la tradition du lubéralisme qui proclamme des itentions en faisant le vcontraire. On est antiraciste? Demandez aux "racisés" ce qu'ils vivent au quotidien! Et comme certains gamins gitans (d'une anecdote révoltante lue sur un blog), shootant dans un hérisson, ils enragent qu'on les repousse pour protéger la bête: c'est pas écolo, un pauvre! Oui, le monde d'ici va vers lle non-travail généralisé. Voter pur Sarkozy, l'UMP, soutenir Bush, tout ça va devenir un acte grave, une complicité de crime contre 'lhumanité. En attendant, voici: Les interdictions de travailler Par définition, le prolétaire c’est celui qui n’a pour richesse… que sa force de travail. Lui interdire de l’employer, c’est l’appauvrir radicalement. Ceux qui interdisent aux autres de travailler sont certes des esclavagistes : car la définition correcte de l’esclavage, c’est agir comme si on était propriétaire du travail d’un autre, à sa place : cela inclut de lui interdire de travailler comme de lui voler les fruits de son travail [6]. Mais ce sont avant tout, des voleurs de pauvres. Nous sommes tellement habitués au chômage que des analphabètes à la FORRESTER peuvent échapper au ridicule public en prétendant que l’emploi va disparaître. Or, la question ne se pose de façon aiguë qu'en France et dans les autres pays européens, parce que c’est là que les hommes de l'Etat mettent tout leur zèle à interdire de travailler : pas seulement le salaire minimum mais toutes les dispositions autoritaires du code du travail, dont, les conditions de diplômes, d'âge, etc. et autres interdictions de produire et d'échanger. Comme en dernière analyse, les services s’échangent contre les services (Frédéric BASTIAT), il faut rappeler à cette occasion que toute interdiction d’échanger, quand elle proviendrait d’un règlement de construction ou d’une taxe à l’importation, est également une interdiction de travailler. Et toute interdiction de travailler est elle-même une interdiction d’acheter les services d’un autre : elle déprime l’emploi non seulement directement mais indirectement. [edit]Les punitions pour avoir travaillé Quand ils ne l’interdisent pas délibérément, les hommes de l’État rançonnent le travail. Mais rançonner une activité c’est l’interdire au-delà d’une certaine limite et réciproquement (ça s’exprime même en termes mathématiques : c’est la théorie dite de la dualité). J’avais dit la dernière fois que le travail taxé à plus de 50 %, c’est du travail classé 'X. Or, c’est bien le niveau moyen atteint par le pillage démocrate-social des revenus, au titre de la “sécurité sociale” ou de l’“Etat”. Par ailleurs, aucun impôt ne peut manquer de punir le travail : d’abord parce que la plupart des d’impôts réputés voler “les entreprises” amputent les salaires. On l’a vu des “cotisations sociales” et de l’impôt sur les sociétés. C’est aussi vrai de la TVA qui n’est pas une taxe sur la consommation mais un impôt sur la production — paradoxalement, son nom l’indique, les hommes de l’État ont sans doute jugé inutile de mentir sur ce point. Mais plus généralement, on ne taxe jamais que le travail de quelqu'un. Parce qu’on ne peut voler que la production et que toute richesse est produite par quelqu’un. Quand, par démagogie, on prétend “imposer le capital”, on ne vole jamais que le travail du passé. En outre, voler l’épargne la décourage non moins nécessairement. Et comme on l’a vu, c’est léser les pauvres que décourager la formation du capital. [edit]Les récompenses pour ceux qui ne travaillent pas On n’annule pas une interdiction de travailler en distribuant des aumônes volées : c’est une marque d’aveuglement moral que d’imaginer qu’en leur rendant une part du butin, les hommes de l’État “compenseraient” une partie des vols qu’ils font subir aux pauvres : ils ne font qu’ y confisquer une deuxième fois le pouvoir de décision à leur seul profit, amputant la vie des autres aussi bien à l’arrivée qu’au départ (comme les bonbons Kiss-cool, la malédiction de l’argent volé a donc un double effet ). Rappelons que, quand les hommes de l’État subventionnent, soi-disant, telle ou telle “production”, ce n’est jamais pour avoir produit. La production, c’est ce que des clients acceptent de payer ; la distribution du butin, elle, ne rémunère que les efforts faits par les lobbies pour obtenir l’argent volé aux autres. Par conséquent, la redistribution politique socialiste punit toujours le travail et récompense toujours ceux qui ne travaillent pas. Or, l’aisance matérielle est secondaire. L’essentiel est de maîriser son existence, et cette aspiration est tellement forte que seule une minorité de gens, principalement âgés, s’attardent dans ce que les statisticiens appellent les tranches de bas revenus. Mais cette aspiration est ce que le matérialisme démocrate-social refuse de reconnaître, et ce caractère transitoire de la pauvreté ce qu’il combat par tous les moyens. Dans le cas qui nous occupe, les récompenses pour n’avoir pas travaillé sont la trappe qui se referme sur un véritable piège de la pauvreté. Avec l'“indemnisation” du chômage, le RMI et autres avantages, distributions et exemptions fiscales, même les statisticiens gauchistes reconnaissent qu’au voisinage du salaire minimum, celui qui se met à travailler perd de l’argent. En somme, les hommes de l’État ne font même plus semblant de combattre la pauvreté. Désormais, ils s’acharnent à contrecarrer ceux qui cherchent à en sortir. E,n savoir plus?C'est sur: http://fr.liberpedia.org/Voleurs_de_pauvres Le chômage est nécessaire au libérlaisme! votez chomedu! Continuez à croire que la droite est innocente! CA se paiera cher! Mais om sera peut-être trop tard pour recouvrer la moindre des libertés! Un jour il faudra bein que tous ceux qui soutiennent le libéralisme rendent des comptes... "ils en savent pas"? Tiens donc! Ca rappelle quelque chose! L'ignorance, autant que l'inculture est l'incivisme majeur! Et la cuulpabilité demeure!
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