30 juin 2006
LA littérature québecqoise passera t-elle pas les immigrés?
LA polémique consistant à m'accuser d'attaquer el Québec semble close... JE n'ai jamais fait qu'en célébrer les grandeurs dont Mir I am et Régent ne fotnt pas partie. Je continuerai. Seulement, comme partout, il existent de gens douteux au Québec et il est bien dommage qu'on les entende hurler si fort... Le seul avantage est que ça m'a donné envie de lire des livres québecqoi.Et je découvre qu'une nouvelle littérature est en train de naître "québecquo-maghrébine" culturellement assez importante pour être l'objet de colloques. D'où la rage de certains...Voici, venu de http://www.combats-magazine.net/article.php3?id_article=182 une présentation d'un collique déjà ancien à ce propos...
Colloque : 1985-2005. Vingt années d’écriture migrante au Québec
13 décembre 2005
Voix venue d’ailleurs, la parole immigrante, jusque là sporadique et aléatoire, acquit dans le Québec des années 1980 une légitimité l’autorisant à se prévaloir du statut de courant littéraire bien propre à revivifier une littérature nationale qui s’épuisait. Un colloque à l’Université Michel de Montaigne,Bordeaux 3 à Pessac lui est consacré du 15 au 17 décembre.
Tenue d’innover sous peine d’extinction ou d’assimilation, cette « écriture migrante » s’y employa et fonda son esthétique sur une hybridité conçue comme la forme littéraire de l’instabilité conceptuelle inhérente à tout phénomène migratoire. Mais au delà de ses apports thématiques, génériques et langagiers, le mouvement a une véritable portée herméneutique car en donnant force et lisibilité à des motifs inscrits en creux, il offre un code d’accès à la littérature québécoise traditionnelle dont il partage certaines préoccupations parmi lesquelles les notions d’exil et d’altérité, l’insertion dans l’Histoire ou encore l’attention portée au transculturel. Les participants auront donc à cerner les principales lignes de force de cette écriture migrante, à soumettre leur réflexion à l’épreuve des textes mais aussi à s’interroger sur l’avenir : après avoir joué sa partition, cette écriture va-t-elle s’effacer ou, au contraire, connaître un regain d’intérêt en diversifiant ses approches ? --------------------------------------------------------------------------------
Bref, il se passe quelque chose de très prometteur et nous ne saurios trop conseiller aux québécquois de ne pas rater le coche! Ceci est peut-être dû au fiat que le foot -soccer- , ce sport d'opprommés fabriquant quelques stars et laissant sur la touche tout le srste de la population footeuse, n'est pas populaire au Québec. Et que les autres sports n'accueillent pas facilement les immigrés. Souvent pr nationalisme ou racisme.Hé oui! JE ne l'ai pas inventé, lisez les journaux, bon sang, avant dem'accuser!
Et, c'st à la gloire du Québec, ceci monte que la réussite peut, dans ce pays, passer par les lettres!!! bref, il y a là quelque chose de grands, une nouvelle école ou plusieurs, de ouveles formes d'art créées par des gens subissant une discrimination: le blues et né de cette façon; il a conquis le monde...
Bref, si ça continue,on va avoir une france débile de footeux ignares à cause de l'asservissement au sport des beurs et noirs, colonialisme répugnant, tandis que le Québec s'élèvera, deviendra un phare littéraire grâce, en partie, à une immigration francophone se démarquant des Monique LaRue, Régent et Mir I am, vieux fatnômes d'une littérature vieillote et recuite, oublieuse de la grandeur des Ducharme et Miron... L'immigration, de plus, drainerait alors les non-immigrés pour une renaisance somptueuse! Une force extraordianire roulerait un flot fécond...
Et si vous lisiez un peu, les gens qui veulent écrire sur les groupes de Mor I am.. et si vous lisiez cette littérature enntrain de naître? C serait peut-être plus efficace pour découvrir votre propre écriture que tous ces dialogues à,la con où chacun se soucie plus d'affitmation de soi que d'art!
C'est le moment! Ne ratez pas le coche!
Quant aux vieux racistes et réacs, ils en seront vert de rage! Quelle joie! Quelle leçon! !quelle honte pour eux!
Et si j'émigrais, pour rejoindre mes cousins et participer à ce courant qui m'a l'air formidable? ET pur, moi aussi, célébrer la langue française et la grandeur du Québec? Hi! hi!
Non: je suis trop "camembert vin-rouge" pour ça!
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