Dear dear Orlando,<br />
<br />
Tu n'imagines pas (non, non) le plaisir de te lire. J'ai l'impression (mais je dois déconner) qu'on s'est vu (mais depuis je t'ai lu) la toute dernière fois dans l'ex-librairie de l'ami Michel Champendal. Cela ferait vingt ans ? C'est énorme !<br />
Bises,<br />
Guy