PAterne Berrichon

A propos de mo article :" Rimbaud: LEs sources" PAterne Berrichon passe parfois déposer un commentaire fielleux sur ce blog. Comme jadis, il veut s'approprier son beau-frère, Arthur Rimbaud, le jalouse et veut empêcher quiconque ne partage pas sa vision officielle, académique et pompière du poète. Paterne Berrichon est un con. J''efface ses commentaires, ça le fait bisquer! LEs exhibitonnistes de la hargne complaisante confisquent la parole aux autres, mais alors, quand on leur rend lapareille, ils en écument de rage impuissante! Ce groin en arrive à un nouveau degré de médiocrité hilarante. Il signe ses commentaires : Arthur Rimbaud.Jusque là, la jalousie de Paterne Berrichon n'avait pas été jusqu'à l'identification... J''efface ses commentaires, ça le fait bisquer! Las exhibitonnistes de la hargne complaisante confisquent la parole aux autres, mais alors, quand on leur rend la pareille, ils en écument de rage impuissante! Comme la plupart des veules, ses missives sont interchangeables avec celles d'autres "idéal standards" de son genre: on croirait lire "pas triste kein oseille" dit GMC, entre autrs.Ces gens sans personnalité sont interchangeables et tiennent un discours convenu rempli d'un confort moral que seule une haine de vassignue peut occasionner. MAis, signer Arthur Rimabaud quand on est PAterne Berrichon ou son clone! C'est d'une bassesse! J''efface ses commentaires, ça le fait bisquer! Las exhibitonnistes de la hargne complaisante confisquent la parole aux autres, mais alors, quand on leur rend la pareille, ils en écument de rage impuissante! Oui, oui, oui: j'efface ces commentaires: ça encombre. Ca ressemble aux autres commentaires de tout ce type de morveux envieux veules et vicelards. L'habitude d'être méprisés, le fait de n'être aimé de personne les rend ainsi... C'est amusant. Certes, il est réjouissant de contempler la souffrance de Paterne Berrichon. Il souffre comme le pou sous ls doigts d'ue soeur, comme un morpion subisssant une bonne giclée de pénicilline! La douleur de ce moindre et son envie de paramécie anémique, sa hargne de roquet mordant les mollets des géants est du plus haut comique.PAs très beau, tout ça, quoique convulsif! .IOui: il est esbaudissant de savoir qui il est.Il est réjouissant de contempler sa morfle, son impuissance, sa hargne. En même temps il est inquiétant de savoir que ce genre de gens tuent, écrasent quand ils peuvent comme ces islamistes talibans qui ont dynamité ds statues bouddhistes... Certes, on sait qu'ils déforment les oeuvres pour en dire et en déclarer ce qu'il faut en penser, comme le fit jadis Faurisson sur Rimbaud, justement, avant de falsifier l'histoire... Certes, ils sont dangereux: Pétainistes de la littérature, Pontmartin de la critique, le beau les agresse,le grand les torturee t ils n'ont hâte que de le détruire. Ou encore, comme Juan "Areuh-areuh" Asencio, leur incapacité de bâtir une oeuvre, lentement, hors du temps, les fait décréter qu'ils sont là pour disséquer le "cadavre de la littérature"! Infantiles! Et souffreteux! infantiles et cacochymes, puérils et gâteux: leur vie de condense en activité d'émonctoires perturbés! J''efface leurs commentaires, ça les fait bisquer! Las exhibitonnistes de la hargne complaisante confisquent la parole aux autres, mais alors, quand on leur rend la pareille, ils en écument de rage impuissante! Cette souffrance est distrayante.On la contemple avec hauteur, un léger frémissement palpébral de dédain amusé rpond à cette agitation. Et, par goût comme par devoir, nous méprisons ces pouacres qui enragent et en bavent de hargne. J''efface leurs commentaires, ça les fait bisquer! Las exhibitonnistes de la hargne complaisante confisquent la parole aux autres, mais alors, quand on leur rend la pareille, ils en écument de rage impuissante!

Comments

[zmerliamel]

Ou comment éradiquer les cafards de la littérature, je ne savais pas que Rimbaud s'était réincarné, ça c'est un scoop de flitox, pchitttt et le cafard agonise en appuyant sur le petit bouton : annulation... oui mais on aurait bien voulu se mettre sous la dent une petit morceau de choix même incomestible juste pour mesurer l'étendue du désastre...
J'ai envie de demander à ce môsieur s'il a encore dix-sept ans parce que pour se faire appeler Rimbaud, c'est une condition nécessaire mais insuffisante... hihi
Amel