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orlando de rudder
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18 juin 2006

Youpi! Il se révèle!

LEs poiuacres se révèlebnt toujours! Les prétentiards restreints qui se délectent du "cadavre de la littérature" parce qu'ils ne lisent que certains livres et quireproche,nt de n'êtr pas courtois aux autres montrent leur petitesse cucul avec complaisance! Allez vois stalker et ses poncifs! Et lisez ce que ce genre de limité m'écrit: Original Message ----- From: "Juan Asensio" To: Sent: Saturday, June 17, 2006 11:31 PM Subject: Re: > Strictement rien compris à votre galimatias. > Ecoutez, retournez donc sur votre blog et foutez-moi la paix, j'ai autre > chose à faire que de lire des conneries pareilles. > Merci de ne plus m'importuner. > >Juan Asensio > Stalker, dissection du cadavre de la littérature . Ilntre dans mes amusements et la nécessité de faire connaître les pouacres!Il faut qu'on les voie, que les racistes mollassons, les gens qui croient au "cadavre de la littérature", les décadentistes au fascisme décoratif soient connus! Car ils se montrent sans se montere, ils ont un beau discours régionaliste de la provine gnnagnan agressive et projettent leur état de cadavre moisi sur les autres! LA connerie?!Désolé, mais la bêtise n'est pas mon fort. Et j'ai lu ascensio... C'est quand même très très badplaf, mécanique, genre "idéal standard" flic et curé! Ah! il nous faudrait des Tailhade, des Gourmont, des Bloy pour vilipender ces amoindris! Cela dit, soyez patients avec ascencio: c'est un lecteur besogneux, il a du mal à lire vraiment et s'acharne à essayer... Il y passe sa vie, dit-il... Vos rapports avec lui ne peuvent être que pédagogique: du fond de sa nuit il crache sur la lumière.Avec un peu de patience, du calme, de la compassion, on peut amener ce genre de compulsif du dénigrement à la capacité de voir presque clair.Et parfois, ils apprenennt à lire sans les verres teintés de noir corbeau-curé de l'obscurantisme éternel! Et aussi, aidez-le à orienter ses choix de lecture: il ne cite que les moindres, ou presque! A se nourrir de canigou et de hamburger, on oublie le vrai, le profond, l'authentique, le camembert et le rouge, le Pernand Vergelesse et la rose. Soyez donc indulgents, vous avez tout à lui apprendre. Il le fut: si vous le lisez, dans le genre comique troupier pétomane, on a difficilement fait mieux! Bref, il faut, encore et toujours, éduquer, éduquer, éduquer ces petits colonialistes des lettres! Regrdez ce bougre: il me dit "merci de ne plus m'importuner"! Il ne se rend pas compte de l'enseignement que je lui offre gratuitement! Vopus puvez, vous aussi, lui enseigner des choses élémentaires, mais nécessaires. Alors, comprenez aussi son ingratitude: les apprentis se révoltent souvent contre les maîtres, comme les ados fascinés par les "cadavres"! Soyez gentil avec ascencio: il ne se rend pas compte! Que ma joie demeure! Eviv Bulgroz! Eviva Durutti! Allez vois Satlker! Et qu'on en parle! qu'il devienne célèbre, qu'on le VOIE! Rappelez-vous: il n'y a pas decommentaire sur stalker! Le mépris vient du fait qu'on ne veut pas être contredit, l'immature! La seule chose qu'areuh-areuh ascencio craint, c'est le débat! Monsieur areuh-areuh se défile! Amors,parlez lui: là, ce n'est plus de la pédagogie, mais de la thérapie! Ainsi, il grandira: il arrêtera de sucer son pouce pour se ronger les ongles.Plus tard, si cette éducation réussit, il comencera à se fourrer les doigts dans le pif.Dans l'oeil, c'est déjà fait... Ppurquoi loes infantiles sont-ils toujours "flics et curés"? Patience avec le petit Areuh-areuh: dans quelques années il saura lire Chardonne dans le texte!
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Commentaires
R
Les auteurs universels tels que Hugo, Homère ou Pascal n'avaient intrinsèquement rien de plus que le premier quidam venu. Asensio se leurre, en croyant voir en Steiner une espèce de demi dieu parmi les hommes. Médiocres ou brillants, les auteurs ne sont que des sauteurs à la perche juste un peu plus doués que les autres dans le domaine du sport. Ils essaient seulement d'approcher au plus près de la barre que personne n'a jamais pu atteindre depuis le déluge. Et cela est pitoyable et misérable, attendu que n'importe quel quidam, avant le déluge, dépassait allégrement la barre fatidique du génie.<br /> <br /> Le bel Asensio, ne nous y trompons pas, est une sorte d'esthète perverti. C'est un esprit fin s'accommodant sans problème d'une sensibilité moins subtile. Il a le goût de la grossièreté, cela ne signifie pas pour autant qu'il n'a point de jugement adroit. Il est cynique, et je crois qu'il ne s'aime pas à force de nous montrer qu'il s'aime si démesurément. Il se complaît dans sa fange dorée : son cynisme, c'est son intime refuge. Je crois qu'il est désabusé, blasé de tout, mais cela ne l'empêche nullement d'être très confiant dans sa propre personne.<br /> <br /> Il mise tout sur lui, et rien que sur lui. Il s'afflige face à la misère intellectuelle (toute relative) des autres, mais se console bien vite devant le reflet "ASENSIOnnel" que lui renvoie son cher miroir. C'est une sorte de misanthrope qui arrive cependant à donner du prix à un seul représentant de l'humanité : lui-même. C'est un grand narcissique.<br /> <br /> Il n'est pas forcément mauvais, il est surtout égocentrique, satisfait de lui-même et de ses basses oeuvres steineriennes. Il aime se rouler dans la boue de sa vanité, se salir avec les ordinaires déjections de son esprit. Son humour hautement périssable est un feu d'artifice qui retombe bien vite en poussière pour former un vernis opaque tout autour de lui, qui lui fait une sinistre silhouette. L'albatros originel s'est assombrit depuis longtemps. Déchu mais demeuré superbe, Asensio est devenu une espèce de vautour. Mais à l'oeil vif et pétillant. D'ailleurs il n'y a que l'oeil d'aimable chez lui. Il sait voir le monde, il le perçoit avec finesse, mais il le déforme assez vite, tant est démesuré son orgueil. Il est trop empressé de déployer ses ailes noires et de planer au-dessus de ce monde pour mieux le noircir, l'obscurcir de son ombre gigantesque qui passe.<br /> <br /> Raphaël Zacharie de Izarra
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