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orlando de rudder
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28 mai 2006

Sur l'ombre que faisaient les arbres dans l'eau 4.

Cyrano continue (voir extraits précédents) et nous découvrons maintenant quelque dépit de bretteur, comme Cyrano lui-même s’escrimerait en vain contre la statue d’un commandeur à la façon de Dom Juan… Et cet ennemi intouchable, il ne peut le « sentir »… Désarroi… On apprend aussi qu’à l’époque, un poisson de rivière se nommait dorade… Je ne sais de quoi il s’agit ! Un pêcheur pourrait-il nous renseigner ? La perche, la dorade et la truite qui le voient, ne savent si c’est un poisson vêtu de plumes ou si c’est un oiseau dépouillé de son corps ; elles s’amassent autour de lui, le considèrent comme un monstre, et le brocher (ce tyran des rivières) jaloux de rencontrer un étranger sur son trône le cherche en le trouvant, le touche et ne le peut sentir, court après lui au milieu de lui-même, et s’étonne de l’avoir tant de fois traversé sans le blesser. Moi-même j’en demeure tellement consterné que je suis contraint de quitter ce tableau.
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Commentaires
Z
Que l'on soit pêcheur en eaux troubles, ou orpailleur en terres troubles, l'un cherche la d'eau rade et l'autre la d'or rade. Enfin ce qui zst en rade, toujours la rareté... je sais c'est un peu tiré par les filers...<br /> Tous les commentaires lus à l'occasion du précédent texte sur Cyrano sont bôs,le vôtre y compris pour susciter de si belles remarques, j'en ai perdu ma langue...<br /> Amel Zmerli<br /> PS : je me dois de réfléchir sur tout ce qui a été dit sur Cyrano pour y laisser un commentaire à hateur de coeur...
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