Ignominie en Inde...

A quand un boycott de l'Inde? Sa frénésie libérale se bâtit sur des cadavres, sur des femmes battues, des enfants torturés, des intouchables maltraités! A quand l'interdiction des carnavals grotesques qui encombrent PAris et font la propagande d'une religion de torture, de sexisme et de mort? Imaginons le tollé si les atteintes aux droits de l'homme qui se produisent chaque jour en Inde arrivaient dans un pays occidental? Dès que c'est mystoque, oriental, tout est permis! Et n'publions pas que la résisance existe aussi, qu'elelese fait massacrer dans ttue l'Inde qui n'a rien à envier à l'IRan ou à l'Irak de Saddam Hussein...mis le racisme des mystiques ne veut pas le savoir: l'Islam est forcément méchant, l'hindouisme et le bouddhisme forcément gentils... (je ne parle pas du chrisitianisme, c'est déjà fait partout!!!! ET je n'ai pas manqué d'en parler aussi.bien entendu, il est considéré comme pire que tous les autres dogmes!!!!!!!!! Chaque chose en son temps! PArlons du PIRE: l'Inde, par exemple!, Ouvrez les yeux! ) Sur un blog amusant de prétention et qui exalte l'harmonie, on voit des célébrations de l'Inde comme s'il en pleuvait!!! Alors, il convient de parler de la situation réelle, des femems persécutés, etc, de ce pays aux religions totalitaires! De pus, sur el même blog, on célèbre l'idée d'une paix entre l'Inde et le Pakistan! C'est génial: les réfugiés politiques des deux bords seront reconduits chez eux afin d'être torturés comem cela se fait dans les pays hindouistes et musulmans!!! L'aveuglement des mystiques est sans borne! Quand je pense qu'on discute l'entrée de la Turquie en Europe et qu'on veut commercer avec l'Inde!!!! Les commissions des Droits de l'Homme, Amnesty international ont beau faire, les guguesse mystiques ne veulent rien savoir. Alors, je prends encore un article sur el net pour montrer la vraie situation et ce qu'est la mentalité millénaire de ces religions ignobles ça se trouve sur: http://www.hri.ca/forthereCord2001/bilan2001/vol3/indiatr.htmlan2001/vol3/indiatr.htm Inde Rapports thématiques Mécanismes de la Commission des droits de l'homme Détention arbitraire, rapport du Groupe de travail(E/CN.4/2001/14, par. 56, 57, 58) Le Groupe de travail a transmis au Gouvernement deux appels urgents concernant 18 personnes. Le rapport ne fournit aucun autre détail sur ces appels. Disparitions forcées ou involontaires, rapport du Groupe de travail(E/CN.4/2001/68, par. 16, 17, 18, 56-61) Le Groupe de travail (GT) a porté à l'attention du Gouvernement 27 cas nouvellement signalés, dont 21 s'étaient produits au Cachemire en 2000. Quatre personnes auraient disparu après avoir été arrêtées dans la province d'Assam, une à Sipajhar et une autre à Udalguri. Dans un des cas, la Haute Cour de Guwahati avait ordonné aux autorités militaires de remettre le détenu à la police pour qu'il soit présenté à un magistrat. L'ordre n'a pas été respecté. Deux des personnes disparues auraient été vues en détention alors qu'elles étaient torturées, au camp du 15e régiment de Dogra et au camp militaire de Dhekiajuly. Le Gouvernement a fourni des informations sur neuf cas. Eu égard à ces informations, le GT a ultérieurement décidé de considérer trois de ces cas comme élucidés. Dans l'un des cas, le corps de la personne disparue avait été retrouvé et remis aux siens. Dans deux cas, les personnes disparues avaient été libérées sous caution et avaient regagné leur foyer. Dans cinq cas, les renseignements fournis par le Gouvernement ont été jugés insuffisants pour conclure que les affaires avaient été élucidées. Au cours de la période considérée, le GT a reçu d'ONG des informations sur des événements intervenus en Inde qui avaient une incidence sur le phénomène des disparitions et sur l'application de la Déclaration sur la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées. Il a été signalé qu'étant donné que les autorités n'avaient pas enquêté dans tous les cas sur les violations graves et systématiques des droits de l'homme et notamment les disparitions forcées ou involontaires au Pendjab dans les années 80 et au début des années 90, un climat d'impunité s'était instauré pour les membres de la police en sorte que des actes illégaux avaient continué d'être commis. Les tentatives faites par les organisations de défense des droits de l'homme au Pendjab pour que justice soit rendue aux victimes des disparitions forcées et à leurs proches se seraient heurtées à des actes d'intimidation et de harcèlement et les autorités auraient fait obstruction à toute procédure de réparation. On ignore tout sur le sort de centaines de victimes de disparitions forcées ou involontaires dans d'autres régions de l'Inde telles que l'Assam et le Manipur, où régnerait l'impunité. La loi de 1958 sur l'octroi de pouvoirs spéciaux dans l'Assam et le Manipur confère semble-t-il aux forces armées, envisagées au sens large, une quasi-immunité de poursuites. Le GT signale qu'il semble y avoir une augmentation constante du nombre de cas de disparitions forcées ou involontaires au Jammu-et-Cachemire, après la diminution enregistrée au cours des trois dernières années. Bon nombre de victimes semblent être des citoyens ordinaires choisis au hasard, sans qu'ils soient impliqués de quelque manière que ce soit dans l'actuel conflit armé. Parmi les victimes figurent des hommes d'affaires, des avocats, des ouvriers, des enseignants et des personnes de tous les âges y compris des enfants. Le GT a reçu en outre des allégations selon lesquelles des personnes étaient détenues clandestinement pendant de longues périodes dans des centres d'interrogatoire et des camps de transit au Jammu-et-Cachemire et dans le nord-est du pays. Enfin, peu nombreuses seraient les requêtes en habeas corpus déposées par les familles des personnes disparues auprès du pouvoir judiciaire qui avaient abouti. Il a été réaffirmé que le climat d'impunité qui régnait au Jammu-et-Cachemire permettait aux auteurs d'actes conduisant à des disparitions forcées d'échapper à la justice et facilitait d'autres violations des droits de l'homme. Éducation, rapport de la Rapporteuse spéciale(E/CN.4/2001/52, par. 24) En septembre 2000, la Rapporteuse spéciale (RS) a adressé une lettre au Gouvernement concernant les nombreuses plaintes qu'elle avait reçues au sujet d'actes de violence à l'encontre d'écoles et d'enseignants chrétiens au cours de la période 1998-2000. Elle a demandé au Gouvernement de préciser quelles mesures avaient été prises en réponse à ces actes dans les différents États, en particulier dans le Gujarat, et a également demandé des renseignements sur la façon dont les différentes communautés étaient présentées dans les programmes et manuels scolaires. Tout en étant pleinement consciente du partage des responsabilités dans le domaine de l'éducation entre l'administration centrale et les gouvernements des États, la RS a rappelé qu'il incombait à l'État fédéral de veiller à l'application effective des instruments internationaux relatifs aux droits de l'homme auxquels il était lié. Dans sa réponse, le Gouvernement a noté, qu'en date du mois de décembre 2000, les enquêtes sur les actes de violence à l'encontre d'écoles ou d'enseignants appartenant à des minorités avaient révélé que ces incidents sporadiques et isolés s'étaient produits dans des régions reculées du pays et étaient le fait d'éléments criminels et marginaux. La RS s'est grandement félicitée de l'engagement réaffirmé du Gouvernement de ne pas tolérer de tels actes de violence et espère recevoir d'autres renseignements, en particulier sur les activités de la cellule du Ministère fédéral de l'intérieur chargée des minorités qui, comme le Gouvernement l'a indiqué, traite des plaintes concernant des atrocités commises à l'encontre des minorités. Elle s'est également félicitée des informations selon lesquelles le Gouvernement de l'État du Gujarat avait décidé de revoir les programmes et manuels scolaires, étant donné le « contenu discutable » de certains manuels utilisés depuis 1992. La suite sur le site en question!

Comments

[dimitri]

question:
es tu deja alle en Inde.pas en vacances dans un hotel pour touristes...........?mais un petit moment a te ballader dans le sous continent indien.................au fait une derniere chose le Bouddhisme n est pas une religion mais une philosophie...............

amicalement
dimitri

dans mes propos ,il n ya aucune malice ,mais simplement je cherche a comprendre ce qui motive de tel propos,qui pour moi sont quand meme assez violents et plein de colere.........