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orlando de rudder
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16 novembre 2005

LA boétie

LEs choses vont-elles enfinse calmer? Va t-on enfin pouvoir comprendre qu'il y a des gens épatants en banlieues et que la racaille est parfois un gouvernement d'oppression? LA grande question des mentalmités et des représentations dopit être posée. ce n'est pas avec les petiteds idéomogies ocurantes qu'on s'en sortira, ni avec une politique sociale (cela dit, là où un vrai travails social a été accompli, tout va mieux et il y a eu moins de "révolte").; Leproblème est culturel: le savoir donne 'amour et combat la haine. Le problème commence aussi par le respect de l'école telle qu'ele est. Elel les ennuie, les pauvre petits? Come c'est curieux.purquoi s'ennuie t-on? ET de quel droit? C'est drôle, lles autres MILIEUX, ceux qui aiment l'école ou s'y adaptent vont mieux... Je l'avais déjà écit il y a bien des années lorsque j'ai eu l'honneur de préfacer le livre de Christophe Collinet, L'autodafé des quartiers qui traitait de la situation actuelle... sauf que c'était il y a déjà longtempse t dans les banlieues du Nord, autour de MAubeuge.Le phénomène a pris de l'ampleure t vient toujours de l'ignorance, des trafics, des représentation et des mentalités. Il serait bon de lire ce livre remarquable! Et aussi de relire La Boètie, LE Discours da servitude volontaire est actuel.;On pourrait croire qu'il a été écrit pour la situation actuelle. Lire,d e toute façon: cette activité proprement humaine est une solution à bien des problèmes! IL faudra y revenir, sur cette haine de la lecture... Si pratique pour les manipulateurs,les gouvernants de tout poil! Car un dictateur commence par brûler des livres que le "peuple" n'a jamais lus. Et c'est popur cela qu'il peut les brûler! Il n'y a pas de dictature, ils n'y a que des peuples infantiles! Et qui les réclament. Et qui les désirent. Qu'attendent nos "racailles"? Qu'on les prenne en charge! Qu'on les plaigne! Pendant ce temps, la majorité des gens, dans les banlieues vit ou tente de vivre et la plupart des "djeunns" ne souhaitnet absolument pas que cela dure. Quel gâchis! A force d'être dans ces quartiers j'ai vu combien de talents sont gâchés, combien de vies sont brisées uniquement pas ces manques affectifs... Et combien, miraculmeusement, tant de gens tiennent, résistent, vivent et aiment! LA liberté, c'est un sacré boulot!
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Commentaires
M
Quelle joie de voir son avis partagé!!!<br /> Je tenait à te dire bravo pour ce 'pamphlet' moderne joliment tourné! au faite c'est vrai que d'éviter la stucture en vers aurait été plus judicieuse pour le poème de T. Moubayed, merci. A bientot!
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