réponse à matthus

Je remets ici ma réponse à un commentaire de mon message "celui qui souffre à tort" Et si je parlais en connaissance de cause? Pur l'instant, la mode est aux gens quis e plaignent. Moi, j'ai connu aussi des gens qui ont souffert et qui n'en parlaient jamais. On finissait par le savoir, mais la dignité, c'est autre chose! Elle existe au fond de la misère. Et quand on serre les dents, qu'on avance "quand mêe" on souffre déjà moins. LA difficulté, quand on est pauvres, c'est de en pas devenir méchant... on ne l'évite pas toujours. LE froid On y arrive.La fain? Au bout de uqelques temps, l'estomac rétrécit.en plus, on a des bouffées de sueur: on a chaud, puis le froid glace l'humidité. C'et déplaisant... En revanche, la haine des autres pauvres, c'est pas toujours du gâteau... Rester digne, c'est un combat de chaque moment. Le désespoir est un état physique: il donne même des crampes. Faut tenir, parce qu'on a du mal à bouger... Mais on ne se plaint pas. Le pire, ce sont les coups... MAis c'est uneutre histoire, je la raconterai un jour. Ils arrivent quand on est "invité" dans certains lieux. IL ne faut pas souffrir... Celui qui souffre a tort.. C'est juste popur dire que ce serait bien qu'on respecte eles gens qt qu'on ne me bassine as avec des bons sentiments et des hargnes conformistes. Marre des projections! Et de ceux qui ne tiendraient pas dix minutes sans abri...