Amis des animaux et totalitarisme montant!

Mascotte ou totem!

De nombreux travaux le constatent depuis longtemps. Mais là, ça devient frénétique! L'hypersensibilité pour la condition animale est un indicateur efficace de durcissement de la société. L'animalisme est le refuge de l' égoïsme social, de l'insensibilité aux souffrances humaines. les sociétés de protection animales sont généralement fondées par des mystiques obtus ou des gens d'extrême-droite. L'ami de animaux prolifère ent temps de haine. Les tortionnaire qui tue a macotte ou totem! Et ceci est l'un des aspects de l'idéologie de la nature, celle qui, actuellement, nous enlève tout espoir de démocratisation, d'équilibre, de progrès.

Il faut s'y faire.

Les gens de coeur, bien évidemment, refusent qu'on maltraite les bêtes. Mais ont un autre rapport à elles, plus vrai, plus profond. Sans esbroufe. Sans cette flagornerie qui sature les discours hitlériens, par exemple, de sollicitude envers les animaux (les cas de "punitions" légales de l'époque  sont aberrants). Il faut s'y faire: qui aime trop les bêtes n'aime pas les gens, de la "mémère à chienchien" au maître-chien fasciste! Cependant le refuge dans l'"amour" des animaux est aussi un refuge salutaire.Par exemple chez les jeunes gens, les adolsescents rejetés par le goupe parce qu'ils sont meilleurs que les autres...ou pires. qu'ils sont "différents"... Mais là, on touche au désespoir routinier. Au déséquilibre. Au pathos.

Conduite de vie.

Se méfier des zamidézanimos est une bonne méthode, une règle de conduite efficace qui évite bien des ennuis! Et qui et permet de très agréables surprises quand, par hasard, on en recontre qui ne sont pas moches en leurs âmes, inhumains et plein de sollicitude pour le moindre chat errant. Mais pas pour le rat.

Paraître...

On est loin du rapport profond de l'être de bien à son chien, ,par exemple, de cette complicité faite de silence, de calme puis d'agitation joyeuse, de jeu... Chez le zamidézanimo la bête est l'instrument du contentement de soi. C'est un "signe extérieur de bonté" ou d'humanité come une grosse bagnole es tun signe extérieur de richesse pour lequel des locdus misérables se saignent aux quatre veines afin de PARAÎTRE!

Intrinsèque!

Ce déséquilibre actuel entre l'émotion et la révolte publique envers la maltaitance des bêtes et celle des humains est significative.elle est parente de la religion de la nature, de l'écologisme, de l'insensibilté au nom d'un "bien supérieur", de la "planète" en tant que "valeur intrinsèque. Bref,une montée de totalitarisme. se fait jour.

Mépris.

Toute personne ayant un peu vécu, ayant traversé des situations de danger sait que celui qui lâche, celui qui trahit et le "maillon faible d'un grouoe" c'est, le plus souvent, "l'ami des animaux"... Tant il est vrai que le refuge dans l'animalisme permet de ne pas affronter le réel. Et de mépriser les gens. Ce n'est pas un hasard si Madame Bardot fréquente des racistes. Et a été condamnée pur cette ignominie: elle est raciste.

Ceux qui nuisent.

Mais, sans aller si loin, cette affaire du malheureux chat dans la poubelle motre bien cet état de choses désastreux et a révélé combien les médiocres se foutent des soufances humaibnes au oprofit d'une émotion de pacotille devenue "seconde nature"  dès qu'on touche un animal. Ce sont dses salauds faussement sensible. Et le temps peut revenir où l'oin torturera les gens sous le regard des chiens! Méfiez-vous des zamidézanimo! de totuefaçkn, chacun peut s'en rendre comppte en fouillant sa mémoire:ils sont parmi ceux qui nuisent!

Devoir à faire à la maison sur un cahier bien propre: Chercher, dans l'histoire, les personnes dangereuses, ignobles, coupables, genre Saint-Just ou Céline, qui aimaient les aimaux ou, du moins qui le proclammaient. Faire le bilan des gouvernants affichant un animalisme outrancier. On mettra Margaret Tatcher à part: c'est une bête. Avant d'oser essayer de me contredire,il serait bon de faire preuve d'un peu d'hygiène culturelle, de savoir de quoi on parle et de connaître ce qu'on peut savoir surce sujet.Car, presque toujours, mes contradicteurs sont des ignares a anorexie culturelle flagrante et qui réagisse à l'émotion, à l'OPINION. On n'a pas le droit d'avoir une opinion: on sait ou on ne sait pas.Et l'on s'engage!