24 août 2010
Rigolade en camp nazi
Claude Bourdet me racontait jadis que, le soir, à Büchenwald, les déportés se racontaient des blagues stupides, obscènes, grotesques, vulgaires et qu'ils se tordiaient de rire... Superbe humanité qui parvient à se bidonner dans la pire situation! Et ça m'a donné un vraie leçon, cet humour forcément noir, cette façon de tenir malgré l'horreur... La dignité...
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