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orlando de rudder
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24 février 2010

Orgueilleuse burqa!

La religion n'est et ne peut ête que le mépris de l'autre joint à la certitude d'avoir raison, d'être supérieur...Elisabeth Badinter, qui fait mal , le montre dans sa fameuse lettre qui révolte les moindres. LA burqa, comme d'autres attitude et signes religieux, est une déclaration d'hostilité.Ce n'est pareil que le voile, nuance et distinguo... Autrefois on ne sortait pas "en cheveux" chez les femmes "bien": voilette et chapeau tandis que les paysannes, pur travailler aux champs nouaient un fanchon...

Ce que dit la burqa, c'est "tu es de la merde chien d'infidèle, même pas digne de voir mon visage de croyante". En ce sens, ça devint clair et cela nous montres ce qu'est le refus d'être soi, le refuge identitaire (eh oui! dos à dos avec les foldingues méprisant de l' "identité nationale"): du mépris. Parce que la burqa est plus spectaculaire qu'une croix en or au cou, ça révulse.  Mais tout croyant est pareil...surout les tièdes, d'ailleurs, ce que j'ai pu voir chez une blogueuse pourtant sympathque et se prétendant catholique: orgueil, ,orgueil, orgueil et mépris. spécialement chez ceux qui exhibent leur humilité, les plus dangereux! Les ascètes, les chastes et autres paraphiles fanatiques!

Cependant, la burqa, comme les autres signes religieux ostentatoires et méprisants, c'est pratique: on sait à qui on a afaire, on peut se méfier. Alors, pourquoi les sarkozystes ne les rentent-il pas obligatoires? Ce serait dan sle sens de l'identité nationale, en imlitant ce grand dégueulasse et pourri de criminel qui serait aujourd"hui jugé pour ses crimes mais que les cathos respectent Français que fut Saint Louis qui rendit obligatoire la rouelle pour les Juifs! Ce digne fils de cette salope gluante de Clanche de Bastille de l'admirable Blanche de Castille verrait son oeuvre complétée par notre sympathique gouvernement.

Amusant, hein,Pas tellement.

On peut lire et relire Le discours de la Servitude volontaire de La Boétie...

La burqa n'est que mépris... Et c'est pourquoi je provoque en parlant de l'homme majuscule, de l'athée forcément meilleur que les autres! Ca les insupporte et c'est bonnard! Mais il est vrai que les athées n'ont pas autant tué que les religieux, quels qu'il soient!

Sans dieu, tout est mieux!

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Commentaires
M
Je préfère les paroles de PPle Moqueur, il analyse ce qu'est l'endoctrinement des jeunes , contre cela l'école ; car pour les femmes la burqa c'est comme les premiers chrétiens :la recherche masochiste d'être martyr: alors évitons de fabriquer de nouveaux martyrs.
P
Ouais, on est bien d'accord... sur l'essentiel.<br /> Pas de religion, pas de burqa pas de burqa, pas de lézard, pas de lézard, pas de Badinter (oui, je déconne ! )Le problème c'est que ce n'est pas à coup d'articulets dans des journaux à pétasses endimanchées et déjà convaincues que la question va se règler... Parce que comme vous le dites très justement il s'agit d'un signe d'agression (pas d'agressivité). <br /> <br /> A moins que ce soit autre chose. <br /> Tiens, je vais être sérieux trois secondes. Je me souviens très bien étant beaucoup plus jeune et ça ne remonte quand même pas à si longtemps, fréquentant, contraint et forcé les cours d'intruction religieuse, autant que les prêches à la messe on nous disait clairement qu'il fallait étaler notre foi en public, la montrer, vaincre cet "amour propre" (sic !) qui nous retenait de le faire, et que cela voulait dire "être témoin", donc éventuellement "martyr" puisque les deux mots ont le même sens... Notre Salut était à ce prix. J'ai encore entendu ça il n'y a pas deux ans dans une église de Paris pourtant très moderne...<br /> <br /> Ce qui est ressenti par nous comme une agression à notre égard, n'est peut-être que l'expression d'une soif du "martyre".<br /> C'est pout ça que j'imagine que la question ne peut pas se régler par des "affirmations d'évidence". <br /> <br /> Contre des missionnaires, il n'y a qu'un seul remède : des contre-missionnaires ou des lois contraignantes. Le bucher ou le goulag.<br /> <br /> Bref, faut avoir ou la foi, ou la loi, c'est au choix...
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