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orlando de rudder
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18 septembre 2009

Mail de pierre Meur

Le refus de dialoguer continue.Peu importe puisque je suis un narcissique.Pierre Meur, souhaitant que je publie ce mail dit qu'il m'y autorise. Il n'en pas l'autorité: un message appartient à son destinataire! Mais autant faire plaisir à son ego narcissique et à sa fascination pour moi qu'il appelle "droit de réponse".Voici le texte. Il montre une santé éclatante et fait preuve d'une sagacité hors pair:

 

Le 17-sept.-09 à 15:28, orlando de Rudder a écrit :

Orlando : quelle prétention! qu'avez-vous fait de votre vie?

Pierre : Bien des choses, mais comme pour moi, ce n'est pas ce que
l'on montre de soi qui est important, mais la relation que l'on tisse
avec les autres qui construit le monde. C'est ce que l'on transmet
qui est fondamental. Je ne suis pas un idéaliste niais. Je constate
d'abord le niveau atteint par l'humanité, ensuite j'essaye de tirer
ce niveau vers le haut.

Orlando : Qu'est-ce qui vous autorise à croire que vous pouvez me juger?

Pierre : Ce n'est pas vous que je juge, c'est la relation à autrui
que vous avez. Vous êtes nuisible, et c'est à cette nuisance que j'en
ai. Ce que vous êtes intimement ne me regarde pas, c'est à votre
conscience qu'il faut vous adresser. Mais la conscience d'un
narcissique peut-elle se satisfaire d'autre chose que de l'auto-
satisfaction.

Orlando : comment pouvez-vous dire que mon fils est pragmatique ou
non? vous ne le connaissez pas et ce qu'il a dit ne suffit pas!

Pierre : Ce n'est pas moi, c'est vous qui avez introduit votre fils
dans la discussion. Le pragmatisme n'est pas un défaut, c'est une
qualité. Votre fils a agit dans le réel, alors que vous vous
contenter de paroles creuses. Vous êtes dans l'abstrait et vous ne
pensez qu'en terme d'absolu. La réalité est relative et appelle à des
réactions contextuelles.

Orlando : Commencez par faire quelque chose... Vous ne vous ,en tapez
pas de mes "fanfaronades": votre sitre en est la preuve et votre
fascination est marrante.Je vous obsède... Et je vous horripile!

Pierre : Ne croyez pas ça. Ce site n'est qu'un droit de réponse dans
la forme qui me sied. S'il disparaissait, cela ne me ferait ni chaud,
ni froid. Ce que j'ai dit, je l'ai dit. Contrairement à vous, il ne
m'est pas indispensable de "bourrer" internet afin de laisser une
trace narcissique de ma présence. Je vous avais proposé un échange en
privé, par courriel. C'est vous qui avez cru qu'il était plus
important de vous gausser en publique de ma pseudo-niaiserie. Dois-je
vous rappeler vos paroles ?

Je ne fais que vous appliquer, ce que vous avez cru bon de
m'appliquer. C'est la stricte application du principe de réciprocité.
Comme la réciprocité ne peut s'exclure de l'enchaînement des causes
et des effets, je n'ignore pas que notre "relation" peut avoir non
seulement des effets désirables, mais également des effets
indésirables. L'arborescence de la causalité fait parties des
impondérables qui ne peuvent être analysé qu'à posteriori.

Orlando : PP le moqueur a peut-être raison! Lissez mon fils
tranquille et pensez à vos parents à vous car il est vraisemblable
que tout vient de la mauvaise éducation reçue... Si c'est le cas, ce
n'est pas brillant!

Pierre : Je ne m'attaquerai pas à votre fils, quelques soient les
conséquences que ses actes puissent avoir. C'est un enfant de 15 ans
qui est sous votre responsabilité. Je n'utilise pas les méthodes
immorales que vous utilisez, je les combats en tâchant de proposer
des solutions qui permettent de sortir par le haut, mais ça vous ne
pouvez le comprendre parce que vous êtes persuadé que c'est à vous
que j'en ai. En ce qui concerne PP le moqueur, je ne vois pas la
raison de m'intéresser à une autre variante du "tout à la dérision".
J'ai choisi de m'intéresser à la vôtre parce qu'elle est caricaturale
de cet état d'esprit qui est comme une moisissure sur le potentiel de
l'intelligence humaine. Par exemple, vous raillez Gandhi, parce que
cela vous permet d'asseoir votre crédibilité de non-conformiste à
l'ombre d'un homme qui a apporté plus à l'humanité que n'apporterez
jamais. Gandhi est une référence, vous et moi, non. C'est ce qui
devrait vous rendre humble quand vous parlez de Gandhi. Vous
n'argumentez pas sur Gandhi, vous vitupérez.

Vous vous targuez d'être un intellectuel, mais vous ne pensez pas.
Vous êtes dans l'épidermisme et dans VOTRE pensée correcte d'où vous
ne pouvez qu'accéder à des pensées adjacentes aux vôtres. Vous n'êtes
pas libre, vous êtes enfermé dans votre système.

Nous pourrions avoir un dialogue intéressant et fructueux, mais vous
le refuser parce que vous pensez que je vous suis opposé. Vous êtes
un individualiste, et je suis un humaniste. Votre point de vue est
donc forcément limité à vous.

Je réitère donc mon offre d'un dialogue en privé, mais si vous pensez
que c'est mieux de continuer sur la place publique, je continuerai à
alimenter ce site que vous ressentez comme une offense (volonté de
nuire). Par contre, si je sens que vous êtes disposé à dialoguer, je
suis prêt à supprimer le site, moi-même. Est-ce que vous percevez
l'enchaînement des causes et des effets ? C'est vous qui choisissez
si notre relation doit être un rapport de force, et comme je ne suis
pas un lâche, je veux bien y consentir. Cependant, je vous offre une
porte de sortie. Solution plus intelligente que le rapport de force,
puisque ni vous, ni moi, ne pouvons préjuger de ce qui ressortira du
rapport de force.

Vous pouvez publier ce mail, bien entendu.

Bien à vous,
Pierre Meur

il faudrait donc que je choisisse quelle doit être notre relation? Et M.Meur parle de "rapport de force"? Il ne peut y en avoir! M. Meur est un bulldozer, je suis une fleur des champs (hi! hi!). Sa violence destructrice, son amour de la guerre sont toujours les plus fort; Et, quand on a bien massacré, il ne reste plus qu'à citer Gandhi!
Mais passons... Cette mise en demeure est outrancière: je n e désire aucun rapport avec M. Meur... Ce qui est mon droit. Et je n'ai pas à m'en justifier. Me contraindre ainsi à une relation est un abus. Une atteinte à ma liberté. Comme le site consacré à me nuire. Il n'y a là que malveillance, abus, outrecuidance, non-respect de l'autre. Voire parasitisme. Ces manières de Séraphin Lampion sont assez vulgaires et abusives. 
Alors je demande à M.Meur de me foutre la paix; Mais en est-il capable? Sa fascination pour l'image qu'il s'est construite de moi est peut-être incurable. il serait bon qu'il s'interroge sur son désir de m'imposer ses vues. Moi, je n'impose rien: je dis ce que je pense et je n'ai besoin ni d'approbation, ni de contradiction; c'est là, on en fait ce qu'on en veut. Mais il n'est pas obligatoire de m'en faire part! surtout quand il ne s'agit pas de ce que je dis ou écris mais d'attaques personnelles.
Jamais je ne me permettrai de parler de "narcissisme" ou d'autres notions psychiatrisantes à propos de quelqu'un. De toute  façon,soyons modeste:  mon éventuel narcissisme ne saurait arriver à la cheville de celui, dûment constaté des gourous, Gandhi et autres Dalaï-lama!!! Hi! Hi! 
Je me refuse à toute analyse psychologique d'autrui. Aussi, dirai-je que je ne sais pas si M. Meur est érotomane ou psychotique, comme certains le croient: je pense tout simplement que c'est un con. Ce qui a le mérite d'une franchise que M.Meur est loin de pratiquer, avec ses diagnostics et ses analyses de magazine de salle d'attente pour justifier des déclarations inacceptables, goujates et nullisimes. Mais puisque M.Meur me prend pour un crétin, offrons-lui une phrase de Courteline (je cite de mémoire): 
Etre pris pour un imbécile par un crétin est un délice de fin gourmet.
Voici qui devrait le contenter et lui donner une satisfaction savoureuse. Qu'il en jouisse tranquillement et sans m'importuner.

 

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