LEs fausses attribution: essayer, c'est adopter

Je fais souvent le coup aux pouacres: je prends un extrait d'un auteur qu'ils détestent, je l'attribue à un auteur qu'ils aiment et  tout à coup, ce texte qu'ils auraient trouvé abject sous la vraie signature devient superbe! J'ai même fait admirer à des chpeuneuneus un extrait de l'idéologie française de BHL, le plus rance, le plus gnarf, où il vilipende les rstes de pétainisme de la France dans le style beauf gras en l'attribuant à ...Sartre! D'ailleurs, à propos de BHL, il est honni parce qu'il paraît antipathique: o,n déteste sa prétention et ses chemises blanches... Masi il est rare que,l'on puisse en parler vraiment, car ceux qui le détestent l'ont rarement lu.§avant d condamner il faut connaître et il pourrait y avoir des personnes imbuvables qui écrivent des chefs-d'oeuvre! Ce n'est pas le cas! Nore lectureur condamne ce qu'il n'a pas lu de la même façon...

Dans le même état d'esprit, j'ai des connaissance se disant "de gauche", assez genre "pain noir" et "sucre de gauche", qui vénéraient le pain d'un certain boulanger, pain d'ailleurs excelent. Puis ils sont appris que le biulanger était d'extrême-droite.Ca ne s'est pas fait en une seule fois, mais petit à petit, on trouva que son pain, ce n'était pkus ça et que d'ailleurs, il n'était que passable, etc, etc... Exactement notre lisaturateur!

Le coup des fausses attributions est révélateur de la "littérature à l'estomac", de la frime à la boudiou, de tout ce fatras...

Un de mes amis fait pareil avec les vins pour émasquer les cuistres oenologiquoïdes: il verse un vin honnête dans une bouteille vide de grand cru et fait goûter avec tout le cérémonial requis...Ca marche souvent et l'on a droit aux commmentaires à la con dans le galimatias oeneuneu à la mode. Mais, si l'assistance est honnête, que quelqu'un  dit que, tiens, il ne pensait que ce vin aurait ce goût là, qu'un autre essaie d'être poli, bien que déçu par le breuvage, qu'un troisièpe se tait en se disant qu'on se fout de sa gueule, eh bien mon ami sort une véritable bouteille du grand cru en question!

Que ce soit en littérature iu en oenologie, les lectureurs-boudiou sont légions, clones de cons.

§Léon daudet fut viré par le grand chef Fernand Pooint pour ce même tyope de flagornerie...Monsieur Daudet se prenait poiur un gastronome.Il fut jeté hors du restaurant par un Point furieux vociférant "vous vous prétendez gastronome, vous n'êtes qu'un petit mangeur".

LEs petits lecturationneurs genre boudiou sont partout! Comme le journal si bien écrit,voius savez, celui de Rebatet, rédigé comme une dictée bien française poour certif' à l'ancienne!