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orlando de rudder
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20 juillet 2009

Ecologie: après le dieu miteux!

Dégoût.

L'écologie est certes, superstitieuse et cultive la terreur apocalyptique façon "soft" puisqu'il suffit de trier les poubelle, de manger bio et d'arrêter le réchauffement forcément global et forcément dû à l'homme de la terre pour vivre un paradis béat de soumission conformiste et petite-bourgeoise le tout scandé par le doux chant des éoliennes et débarrassé des travailleurs qui font pas propre dans le décor. Berck!...  Et puis les pauvres, ça pollue... Même si on peut les enreligioser… L’écologie ne les aime pas, elle a le « dégoût viscéral » du pauvre ancré au ventre (genre marieweblog)…  ele est, ne l’oublions pas « ni de droite ni de gauche » (ben voyons ! comme d’hab avant les massacres !) et déclare « la fin des idéologies » !

Tripartisme.

Mais cette religion, cet Islam (le mot veut dire "soumission"  en arabe.Remarquez la majuscule et comprenez son sens ! Ca islam n’est pas Islam !) est particulière. Elle procède d'une sorte d'affaiblissement de Dieu que le christianisme, religion d'esclaves devenue dominante, y compris danns les croisades US (arrêtez de croire que le capitalisme c'est d'abord le fric! C'est une organisation sincère dans laquelle le fric sauve le riche charitable et gagner du fric c'est plaire au seigneur! Le capitalisme est d'essence RELIGIEUSE! il n'y a que la foi qui tue!) avec la division tripartite dumézilienne avant la lettre de la société divine: Si le patron est tout puissant oubliant à desseins qu’il est un dieu guerrier (le Dalaï lama a fait la même impasse pour le système militaire massacreur du Tibet ! LA gloire militaire n’est plus à l’honneur), le prêtre tout mignon en colombe blanche, en souffle, le fils, le paysan, le travailleur, le peuple est miteux... Une religion avec un dieu miteux et quérulent... Métaphore du prolétariat, confondu avec les pauvres, tel qu’il est caricaturé par la bourgeoisie : un vagabond aux yeux fous, famélique, salingue et beuglant des slogans. Alors que la bande à Jésus, bien organisée financièrement était probablement propre et vêtue correctement ! La propagande l’exigeait ! Sinon, c’eût été l’échec ! Et les bailleurs de fonds qui entretenaient le tout (ben oui, il, fallait bien du fric pour nourrir ce petit monde) auraient renâclé !

Terroristes.

Mais après le dieu miteux (les autres religions veulent des dieux et des représentants divins opulents et sages, plutôt bourgeois comme Bouddah ou mercantiles comme Mahomet... pas des fils d'entrepreneurs comme Jésus: c'est un notable, certes,mais ça pue la travail, la sueur.Pouah!), il fallait trouver autre chose, de moins humain car il faut faire honte à l’homme parce qu’il a progressé, qu’il est devenir et non stagnation veule comme aiment les pouacres. Et ça, les esprits religieux, lls n’aiment pas ! Mais grâce aux meilleurs des hommes, on ne peut pas massacrer les salopards libres d’esprit, les athées, les hommes debout. Les droits de l’homme, ça empêche et puis c’est décoratif, autant qu’une belle poubelle triée soigneusement ; voire même sélectivement ! On a beau avoir trié les hommes d’une façon sélective, en considérer certains comme des déchets polluants et les massacrer, ça fat mauvais genre et trop chrétien, même si l’on a en même temps retrouvé les vieilles barbares celto-germaniques puantes. La prochaine fois, on tuera les pauvres « contre nature » qui polluent dans le tiers monde, ça se verra moins et puis beaucoup sont musulmans, alors… Tous des terroristes !

Marie-Courjault-Médée : tuer le fils !

Après le dieu miteux, donc, il fallait avancer dans l’idéal glauque totalitaire et sordide des soumissions baveuses et des âmes embrennées. Que faire ?, Certes, la nature, c’est bien, c’est puissant, c’est l’ennemi-ami de l’humain, qu’on a dit « mère Nature » comme une Médée fantasque, une Courjault à court-jus sans courant pour le congélo, une Vierge Marie au cœur de glace et applaudissant quand son fils crève, au lieu de l’accepter seulement avec des larmes de crocodilesse comme il n’est même pas dit dans l’Evangile. Aux Assises, la vierge : elle a accepté, comme un vulgaire Abraham, mais plus lâchement, Au moins cette sous-merde d’Abraham voiulut le tuer luiç même, le ricaneur Isaac (son nom veut dire « rire », fils du rire de Sarah aux ovaires rigolards …qu’est-ce qu’on se marre dans l’Ecriture) la mort de son fils ! Vénérer ça est dégueulasse ! Cette mère Nature est trop forte pour suivre l’affaiblissement petit bourgeois du sublime, de la déité…

Amoindrir, réduire, amocher !

Comme pour les arts (on préfère Renaud à Mozart, chez les bourges, parce que le sublime, ça fait mal, on est souvent « croyant mais non-pratiquant » parce que croire vraiment ça fait mal aussi, on jouit de la chansonnette parce que la poésie c’est trop fort surtout la moderne qu’on n’y comprend rien, on préfère les romans de genre parce que la grandeur nous rappelle notre petitesse…Et puis il faut du social, hein, ça donne bonne conscience et ça ne résoud rien ! C’est inépuisable, on peut recommencer à plaindre, à se révolter sans cesse ! Jouissance maussade !) il va falloir amoindrir, rapetisser, bonsaïfier, réduire ! Passer du Dieu miteux à un truc œcuménique qui peut accepter les autres religions !  Car, au lieu de s’entretuer, les croyants font mine de se respecter les uns les autres ! Ils ont compris qu’il faut faire front contre la liberté et promouvoir le SIDA, cette aubaine des croyants.

Vive la nature revisitée.

Comment faire ? On va prendre la nature..ca au moins,, ça marche…La notion est bien culturelle (elle n’existe pas dans certaines civilisations) bien ancrée…Seulement ce ne sera plus la nature puissante, avec des Cérès et des Pan ! Non, on va la décider affaiblie par l’homme qui la pollue, qui blasphème et se montre sacrilège ! Comme pour les arts, il faut  amoindrir, réduire, amocher, Plutôt Brassens, petit-bourgeois talentueux aux, piment anar, comble de la bourgeoisie revenue de tout, que Norge ! Plutôt le petit vin de pays que le grand cru qu’on ne sait pas apprécier ! Et vive le pain bio-bis, ça fait paysan rêvé (et ça permet d’être réac sans le dire : la Convention a créé le « pain égalité », de froment, bien blanc pour que tous aient le droit au vrai, pain, à celui si fin des nobles et des riches, au lieu de bouffer du pain gris au goût de misère  et de soumission, ,celui qu’on veut retrouver aujourd’hui dans la sphère fascisante écolo-bio !) , et les ours des Pyrénées, plus sauvages que les moutons de Marie-Antoinette, mais du même acabit : on s’amuse, on se fait plaisir…Sauf que Marie-Antoinette en prétendait pas sauver la nature ! Cette nature si faible mais qui est notre mère, alors merde ! Cette nature réinventée, artificielle, imaginée pour les besoins de la cause…

Ennemis du genre humain !

Le dieu ne sera plus seulement miteux, mais fragile, menacé, pollué ! anathème ! En plus on en appellera à la descendance innombrable d’Abraham, aux générations futures ! Tout bénef…Par chance il y a de petits faits qui peuvent corroborer la vision apocalyptique des choses : un peu de pollution que la science peut guérir et que la justice peut punir sans tralala-foutaises écolo ! Alors on amplifie, on ment, on calomnie… On sème la terreur apocalyptique, la culpabilité et le sentiment d’avoir le Taïaut ! Come l’ancien communisme, on ne dit pas encore qu’on va massacrer, on ne le sait sans doute pas…Mais c’est en marche, avec un dieu sans OGM dans un monde néo-colonisé par les O NG, couvertures de services secrets qui se font un sacré fromage au lait cruel et louche pour que les pays pauvres entrent dans le moule préconçu pour béatifier la moisissure mentale des religieux écolos. Ces ennemis du genre humain !

Autrefois une poignée d’hommes et de femmes se levèrent et debout, faibles et presque sûr d’être détruits salement, ils se battirent (contre le nazisme, cet écologisme qui est à la source de celui d’aujourd’hui ! Autant que, les ligues de vertu US !) inventèrent la

Résistance.

Cet esprit de la Résistance doit renaître pour empêcher l’écologie de suivre son cours qui nous mène au totalitarisme, à la religiosité, à la mort, à la torture, aux camps : c’est déjà écrit…

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