Moi, j'ai pas de vidéos sarcastiques et basses

N'ayant pas de video d'amuseur antisémite qui fait marrer à offrir, je vous présente ça. C'est de la poésie pour "imbéciles primaires": "Jour et Nuit le soleil le bourreau la poussée des masses la routine de mourir et mon cri de bête blessée et c'est ainsi jusqu'à l'infini des fièvres la formidable écluse de la mort bombardée par mes yeux à moi-même aléoutiens qui de terre de ver cherchent parmi terre et vers tes yeux de chair de soleil comme un négrillon la pièce dans l'eau où ne manque pas de chanter la forêt vierge jaillie du silence de la terre de mes yeux à moi-même aléoutiens et c'est ainsi que le saute-mouton salé des pensées hermaphrodites des appels de jaguars de source d'antilope de savanes cueillies aux branches à travers leur première grande aventure: la cyathée merveilleuse sous laquelle s'effeuille une jolie nymphe parmi le lait des mancenilliers et les accolades des sangsues fraternelles." Aimé Césaire, Les armes miraculeuses, 1946. IL y a là cette nourriture de l'âme et de l'esprit qui aide l'amour dans sa déclartion, lon des cynismes ordinaires et des rigolades imposées. Non, ce ne sera jamais à la mode,ça. Ca fait pas marrer, non: Ca jubile. Et ça ré-humanise en nous ramenant à notre présence en nous, si facilement détruite par le sarcasme obligatoire! Soyons nous-mêmes et vivons vrai!

Comments

[PPle Moqueur]

Marie Rennard que vous m'avez invitée à lire à propos de son intérêt pour Desproges a décidé de mettre un terme au débat - courageuse mais par téméraire- et de filtrer tout nouveau commentaire.
Voici ce que je lui réponds qu'elle de publiera pas.
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Message personnel, je sais me tenir...

Il n'est pas clos, Marie, l'incident Desproges que vous avez déclenché. Mieux ou pire, il est, par vos soins emmerdés, uniquement forclos...

J'ai été tenté un moment de reprendre sur mon blog ce texte que vous aimez et dont nous parlons encore. Et puis je me suis dit que c'était idiot, non par rapport à Desproges mais par rapport aux anti-sémites affamés... Pas besoin de les gaver.

Je vous croyais sérieuse et responsable (ça n'a jamais empêché quiconque de rigoler).
Vous êtes un bidule qui tente de penser jeune, une créature futile, vous êtes un truc qui de surcroît, tout en voulant la faire, ignore la morale... un miasme rhétorique...

Mais au fait, je suis vraiment con... Comment, de quel droit, pourrais-je vous reprocher de m'être trompé sur votre compte ? D'être ce que vous êtes ? Je suis nul ! C'est bien fait pour ma gueule! J'aurais jamais du venir ! Je me suis trompé de crémerie. Mais je ne vais pas maintenant me plaindre de ce que le beurre soit rance et que le lait soit tourné.

Malgré l'énergie machiste environnante, il n'y a pas d'équivalent féminin pour "pauvre type". C'est dommage... et c'est pourquoi Marie, je vous le dis : Vous êtes un con !