La grand –maman qui aima Paul

La grand-maman avait aimé le vieux Paul qui était fou. Ah ! le gentil petit enfant qu’ils inventèrent tous les deux par fabrication charnelle et élevage catholisant! Le charmant enfant n’et pas plus devenu fou que tout ça. Mais Paul, lui continua, car, la vie, c’est comme ça. Lorsque Paul a franchi le dire, devenu parfois hors que d’écouter, l’enfant détrempa sa couleur pour ressembler à ses cousins. Il pensait n’avoir l’air de rien .Il fit métier de redondance. Il aimait bien les songes usés dont on voit la corde éculée. Le rêve d’occasion n’et pas cher, on en a plus pour moins d’argent. L’enfant préfère la seconde main pour se faire foutre sur la gueule. C’est ainsi qu’il maria Claudette et lui enfonça un marmot dans le ceux du creux de son vide. Est-ce bien fait ? Je n’en dis rien : vide et bide ne sont que deux mots ! Ainsi fut-elle grand-maman celle dont je cause à l’incipit. Ca me rend l’esprit floconneux, vive la lessive et l’avoine ! Je demeure pourtant de marbre, ce qui me veine comme du fromage Paul est resté dément total et ricane sans faire de mal. Il croit aux Messieurs de la mer qui viennent pour saler les pauvres ce qui les rendra étrangers. Mais peut-être n’a t-il pas tort, je n’en sais rien et je m’en fous. La grand-maman fut une conne. Paul et leur rejeton itou ! Sauf que pour les mâles on dit "con"! La grammaire a réponse à tout!

Comments

[Gérard]

ça y est, j'en tiens un, bien gluant, bien juteux - un pouacre comme tu les aimes, il est tellement beau celui-ci là que je voulais qu'on le partage, qu'on se le savoure, peinards, entre nous. J'en cause sur le blog http://poetaille.over-blog.fr , mais surtout il faut aller faire un tour dans les méandres de son blog à lui...