Enfants?Proies du libéralisme!

68, ce fut aussi un autre rapport avec les enfants, celui dont n'a pas, semble t-il bénéficié Sarko... Aujourd'hui, le libéralisme a gagné: les mômes sont scotchés devan la télé ou devant les jeux vidéo,ils sont abandonnés, en conflit permanent avec les parents,l'école,e tc... C'est la mode américaine libérale dont on voit les méfaits,une certaine solitude, un mépris.Et la drogue se répand, ce fruit du libéralisme que les "purs et durs" de 68 ont toujours condamnée, contre les Hippies et autres baba-cool... Et autres libéraux!

L'école d'aujourd"hui abaisse le niveau, ce qui est encore plus de mépris, sous prétexte d'égalité des chances! Ce qui condamne irrévocblement les plus "faibles".. .Elle ne permet pas d'accéder au désir, au plaisir de savoir qui agace tant Sarkozy!

Cette école, vendue à la marchandise (Il est temps de fermer tous les établissements professinneles publics!Obliger les patrons à payer, payer, payer la formation de leurs esclaves avec un contrôle draconien et rigoureux: obligtion de résultat! Férocité sociale! Responsbilité absolue!).Trop facile, d'être patron: l'état paye pour la moindre faillite! L'état paye pour former des esclaves à la merci du patronat!

Pendant ce temps, les parents on avné.Des mouvements comme l' "Ecole des PArents", parfois un peu nunuches, mais efficace, ont permis un équilibe, une tendresse nouveaux. LEs "nouveaux pères" ont suivi et els enfatns élevés ainsi ont pu se développer harmonieusement. Souvent bons à l'école (mal à l'école, mal à la maison, dit un aage pédgo qu'on n'ose plus citer! )... Inspirés de PEstalozzi, de Montessori, de Decroly , de Freinet(parfois jusqu'au point de placer leurs rejetons dans des écoles de ce type), ces parents ont pu retrouver leurs coeurs aimants et vivre un amour parental simple, tranquille,  fait de complicité, mais aussi de dilogue et de négociations (souvent épuisantes)... C'est sûr, palabrer, négocier, c'est plus fatigant que de hurler ou de cogner!

Et pendant que tout avançait, le monde libéral a resserré l'étau sur l'enfance: de plus en plus rendus consommateurs, les mômes sont devenus un enjeu terrible...Aliénés, bouffés par une école inique, malgré la qualité des enseignants, abêtis par la télé et les medias spécialement étudiés pour rendre con, docile, malléable... L'enfance est une proie pur le monde libéral! LE monde de la marchandise exploite els gosse dns une immonde pédophilie commerciale, gluante et monstrueuse...

68, comme toujurs demeure un exemple: tout ce qui va mal fut alors dénoncé! Vous n'avez pas écouté les soixante-huitards? Eh bien, morflez,maintenant! ILs vont mal, les mômes, en général! Selon le modèle US dépersonnalisant! Fallait pas!

Sarko, tais-toi: t'es pas au niveau!

Enrico Macias sera t-il ministre de la culture? Ou de l'éducation? Et Doc Gyneco?