Ecolo, facho, la terre aura ta peau!

Rappelons que l'homme ne peut être coupable que lorsqu'il redevient "naturel", qu'il fait la guerre, comme les animaux, viole, tue, asservit comme les bêtes. L'homme tente de sortir de cette condition minable et a inventé la paix, inaccessible, certe, mais que la bassesse animale ne peut même pas envisager. Il a inventé la poésie, l'amour la gastronomie, le luxe, la gâchis,le refus dela précarité et le droit pour, conrairement à ce qui arrive chez les bêtes '(qui ont une conscience, ce qui permet e'envisager une culpabilité lorsqu'elles suivent leur instinct criminel), empêcher le plus fort d'opprimer le plus faible.

L'homme a inventé l'agriculture les semis, l'élevage, processus non-naturels sublimes. ET les pesticides et engrais qui pnt vaincu les famines au prix de quelques erreurs dues à des abus, comme pour le DDT, erreurs qu'on peut toujours corriger!

La médecine occidentale  a vaincu la peste et le vieux monde a donné à l'humanité plus que tout le reste réuni. Cette médecine et certes polluée par certains grands laboratoies,mais elle n'en demeure pas moins meveilleuse malgré la volonté bestiale de dominer le marché de quelques firmes aussi répugnantes que les fourmis soumises à un ordre ignoble à faire rêver un Sarkozy.

Ce talent sublime de l'homme est parfdois battu en brèche par ses loisirs élevés au rang de passions malsaines: religions, par exemple, ces dadas obsessionnels dépressifs, maniaques offrant des joies malsaines et des exaltations gluantes, permettant d'excuser le meurtre et le retour à l'instinctualité animale, donc meurtrière.Là encore, en Occident, il y a eu une relative "modération",  très relative cependant, des massacres car le meurtre ignoble de millions de gens y répond à celui de dizaines de millions dans les civilisations comme celle de la Chine  bouddhiste (avant Mao, il y a eu les boxers: 20 millions de morts).Seulement l'occidental, loin d'exposer les cadavres,  Loin de se glorifier des ses crimes politique et religieux, , est le seul à se montrer honteux d'agir comme tant d'autres humains  et comme les bêtes. A tel point que l'une de ses religions , peut-être la pire, s'est excusée d'avoir été complice d'une tuerie effroyable! Chose inimaginable pour tout  autre dogme, généralement fier de ses conquêtes sanglantes et exhibant la torture des vaincus lors de fêtes immondes. .

Parmi ces religions il en est une, née de l'idéologie raciste puis nazie, erlayée par un fatra sde droite américaine malthuso-darwiniste qui invente une nature idé&alisée et opposée au réel et agit sur elle en oubliant que ce que fait l'homme est de l'ordre du progrès, de la grandeur, donc de la nature profonde qui est modifiée par toutes les espèces et améliorée par l'homme. Lequel ceut éviter letrvail et cherche des solutions de facilité merveilleuses pour vivre mieux.Ceci, ranquille et pépère,  sans la trouille constante,la soumission, veule la prédation et la haine qui sont le principe de la vie animale. L'homme, la plus "naturelle" des espèces" va vers une évolution sublime et contribue à la disparition nécessaire d'espèces, malgré tout, car il demeure un prédateur naturel.

Mais les religieux ne l'entendent pas de cette oreille! Certains pensent que l'homme est " de trop sur terre" (!!!!!!!!)  et le trahissent. Ces religieux veulent forcément protéger les animaux. MAis en oubliant souvent qu c'est au détriment soit des hommes, ce qui est monstrueux, soit d'autres animaux, ce qui est un peu con. ET, quand il s'agit du détriment des hommes, c'est bien entendu à celui ds pauvres ou des travailleurs: paysans, pêcheurs,ouvriers! L'écologisme est avant tout une pensée bourgeoise. Occidentale, certes, mais dans le mauvais sens: celui des reliquats de mysticisme, cause et principe de tous les totalitarismes. .

Leur choix part d'abord d'une esthétique infantile et porte sur des "nounours", des animaux auxquels on peut s'identifier: jeunes phoques, par exemple, que des malheureux travailleurs surexploités tuent le plus rapidement possible pour vivre et qui sont en surnombre... Oui, ces travailleurs agissent le plus vite possible et sont loin de montrer l'ignoble cruauté d'un chat jouant avec une souris ou d'un rhinocéros encornant vaginalement sa femelle, la mutilant pour rigoler! Car ça se marre, un rhino!  Et dire que les écolos trouvent les chasseurs cruels... Parce que ce sont des hommes! Tandis qu'on ne protège jamais les poux ou les morpions! Ni le bacille de Yersin! Pourquoi n'aurait-il pas le droit de vivre, comme un vulgaire membre d'espèce protégée?

Grosse rigolade! Toisons de haut ces mesquins et pouacres, avec le fin frémissement palpébral de l'esthète avisé toisant une bande de moindres et de groins ignares! Car, le probème est qu'on en arrive, pour les "amis des animaux" à d'étranges paradoxes! Pour protéger une espèce,on en bousille d'autres! On choisit l'espéce noble, comme un nazi consciencieux trie les humains en "sosu hommes" et autres, et on massacre les animaux domestiques, donc "dégénérés" comme les "races inférieures" que nes mêmes nazis busillèrent dans une idéologie expressément écologique et dans le but de "rétab ir" une harmonie naturelle avec un système social con comme celui des termites. . Les communistes usèrent moins de cet argument,mais n'en pensaint pas moins: la bestialité, dans les deux cas ravalait l'humain à la condition répugnante d'animaux sadiques et aimant tuer, comme il y en a tant dans la nature...

Ceci pour en arriver  à la protection des tortues des îles Galapagos, où le grotesque s'allie au buoffon et la connerie à l'écologisme le plus ringard! En plus,il n'y a pas de solution! Ce qui gêne, c'est que des animaux comme les chèvres, par exemple, se conduisant à la façon des ours slovènes avec les moutons dans les Pyrénées, bouffent les tortues. Avec une plus grande efficacité que les ours slovènes pour les moutons, il est vrai!  Mais je vous laisse poursuivre en citant ce qui suit, car cela s'élève au niveau de la fable!

C'est sur http://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/archive-06-26-2006.html. Voici le début:

lundi 26 juin 2006, 8h51
L'éradication des animaux domestiques pour la préservation des Galapagos
Par Jean-Luc PORTE

GALAPAGOS (AFP) - Depuis leur hélicoptère, les gardes du parc national des Galapagos ajustent leur cible dans la lunette de leur fusil et s'apprêtent à "éradiquer" un troupeau d'une centaine de boucs et chèvres sauvages afin d'assurer la préservation de l'archipel équatorien.

"Pour que les Galapagos vivent, tous les animaux, chiens, chats, chèvres et ânes, introduits par l'homme dans l'archipel, doivent périr", affirme l'un des gardes en rechargeant son arme, à 60 mètres au-dessus de la végétation aride.


En contrebas, le "bouc Judas", un mâle en chaleur aux cornes peintes en rouge par les gardes et équipé d'un collier qui émet des signaux infrarouges, rejoint les survivants du troupeau éparpillés. Dès que le pilote repère l'animal sur l'écran de contrôle, une fusillade nourrie reprend.

M. Felipe Cruz, qui dirige le projet d'éradication des chèvres des Galapagos, explique que la présence croissante sur l'île disable de ces herbivores féroces amenés par les pirates est à l'origine de la disparition partielle des tortues géantes qui manquent de nourriture. Environ 90% des tortues géantes ont disparu en trois décennies et leur population a été réduite à une dizaine de milliers.


"Nous avons reçu plus de 3 millions de dollars pour la chasse à la chèvre et nous en avons déjà tué 80.000", ajoute-t-il, précisant qu'à l'avenir les chiens, les chats, les ânes et les porcs subiront le même sort.


Cette mission dispose d'un crédit de 12,5 millions de dollars de la fondation Charles Darwin, un organisme destiné à préserver l'environnement et la recherche dirigé par des scientifiques européens et américains.


Toutefois la perception des Galapagos par de brillants chercheurs étrangers comme "une vitrine et un laboratoire de l'évolution" laisse indifférents les habitants de l'île dont plusieurs milliers vivent de la commercialisation de la viande du chèvre, à la saveur réputée dans tout l'Equateur.


Cristobal Colomb Cuenca, l'un des chasseurs braconniers, ne manque pas de griefs contre les gardes nationaux. "Ces gens quand ils ne massacrent pas les chèvres, passent leur temps à dormir, empoisonner nos chiens et à voler l'argent des organisations internationales". Il vient de capturer avec ses cinq chiens six boucs qu'il vendra le jour même 15 dollars pièce. "La chasse me rapporte en moyenne 300 à 500 dollars par mois mais il m'est déjà arrivé de capturer 100 boucs en une seule journée et de gagner 1500 dollars", dit-il.


M. Luis Moreno Barragan, commerçant et importateur de viande de chèvre, explique que l'économie de l'île dépend en grande partie de ce marché lucratif et qualifie "d'hypocrisie totale la soit-disant menace écologique qui permet au parc national de faire payer aux donateurs des millions de dollars". (...)

La suite à l'adresse citée au début. Voir aussi: http://fr.news.yahoo.com/26062006/202/l-eradication-des-animaux-domestiques-pour-la-preservation-des-galapagos.html

Vive l'homme!  Vive l'humanité! Honneur et gloire au salsifis frit, chef-d'oeuvre du talent humain: aucune bête ne l'aurait fait!  Vive l'Inde libre et mort aux vaches! Mon animal préféré? Le poulet rôti!

Ecolo, facho, la terre aura ta peau!

Bisquerage! Moi, je ne marche pas dans la combine! Vive l'anarchie... Ce défi sublime à l'animalité!  (un anar écolo est un traître à l'humain!).

Hélas l'anarchie... c'est bien loin! Il faudrait que l'homme quitte l'animalité pour devenir RESPONSABLE!  c'est pas demain la veille!

La nature est une peau de vache! Elle n'est belle que parle regard humain! Devenons tous poètes!

En plus, l'homme a inventé la gastronomie, poésie de la nutrition, l'érotisme, poésie de la sexualité! Tandis que les cochons ne le sont même pas! Quelles andouilles!