Ecologisme: ça se démasque et la liberté reprend el flambeau contre l'obscurantisme!
FAce aux slogans, On avance.Hélas, il faut, encore et toujours, montrer leds mensnges, dévoiler les buts, allumer les lumières.Prmi d'autres, voici un bon article démontrant l'inanité écolo. LA pensé saine et libre, héritière des Lumières avance, fidèle à elle-mêem, et combat l'obscurntisme.Mais hélas, c'est éjà de trop haut niveau pour les écolos-fachos type Totoseb (tiens, il faudra parler de ses textes racisants "espagnols"! Un fesival de pensée facho! On m'a signalé ça récemment! Incroyable! ):
Le projet politique de l'écologisme doit donc être pris pour ce qu'il est: une pure et simple ambition de dictature, radicalement incompatible avec les principes d'un humanisme ne serait-ce que « modéré ». Est-ce à dire que la problématique écologique ne vaut rien? Absolument pas. Et le lecteur qui, par principe hostile aux idées que je défends, n'en serait pas moins ouvert à la discussion se consolera sans doute au vu des développements proposés dans un prochain article: l'écologie et le libéralisme ne sont pas seulement conciliables, ils sont consubstantiels l'un à l'autre. Et de ce point de vue, il faut rendre au Club de Rome ce qui lui appartient. Outre que nos auteurs ont bien entrevu le lien écologie-économie, la cible qu'ils visent dans leur ouvrage n'est pas explicitement le capitalisme libéral mais plutôt le concept de
Oui, l'écologisme procède du libéralisme, dès le "keynesianisme" des proto nazis! Voici de quoi mettre en colère un écolo! Le reste se trouve là:
http://www.quebecoislibre.org/030927-8.htm
C'est autrement pensé que Bové ou Hulot! ET plus ça ira, plus la clarté prendra place...
Et puis, pour savoir de quoi on cause, on peut aussi aller là:
http://ecotez.free.fr/article.php3?id_article=176
Avec ceci à la fin (tention! il s'agit d'une critique d'ouvrage!):
Pour l’auteur, l’erreur de ceux qui ont apporté leur soutien à l’écofascisme a été de ne pas prendre en compte le contexte social dans l’analyse des problèmes écologique et de refuser de voir que ce contexte était le fruit d’intérêts divergents entre classes sociales. Autrement dit, aujourd’hui encore, ceux qui prétendent que l’écologie n’est ni de droite, ni de gauche commettent une dangereuse erreur : "l’écologie seule ne prescrit pas de politique, elle doit être interprétée, envisagée à travers des théories de la société pour acquérir une signification politique". Contre l’écofascisme, l’auteur choisit une autre tradition écologique : l’écoanarchisme de gauche.
On est en plein dedans! A lire absolument! N'oubliez pas que l'on progresse et que, de plus en plus, la raison, l'amour s'opposent aux dévotions religieuses écolos anti-humanistes au point de haïr l'humain! LE sourire de la raison, de la poésie va subvertir la trogne haineuse, le renfrognement trouillard de l'écologisme hideux, fils de la bête immonde (mais foutrement naturelle et..anti-culturelle! )!
Pas mal, un la grande phrase à la con? On s'y croirait, non? LA grandiloquence, ds fois, ça vaut le cuop! Surtut poiur exprimer le juste, le bon, le bienveillant.
Vive l'humain! Mort aux vaches! On n'est pas des boeufs!