La racaille exise: je l'ai rencontrée!

Monsieur Sarkozy n' pas prononcé le mot "racaille". Du moins pas comme on l'a dit. C'est un mot qui vient du peuple.D'une femme opprimée par le pouvoir immonde d'une frange, certes minoritaire de fascistes, sexistes, homophobes d'extême-droite qui sévissent dans certaines  banlieues et nuisent.

Cette racaille, effectivement joue sur le victimat, est noyautée par diverses organistations louches, des services secrets et ne représente en aucun cas toute la population des banlieues, qu'elle soit "de souche" ou non. Dans son ouvrage, L'autodafé des quartiers (que 'jai eu l'honneur de préfacer) , paru il y déjà longtemps, Christophe Collinet  a montré le phénomène qui dure, tel quel. Cette racaile existe, c'et un système, une orgnisation, parfiis gérée selon une structure analogue à cele des triades.  Pendant ce temps, certasn résistent dans els banlieues, come Ni Putes Ni Soumises et autres organisations dont l'ennemi est  justement cette racaille, parfois diffuse, parfois fort bien structurée.

Acuser l'affreux Sarkozy d'avoir lancé le mot "racaille" n'en est pas moins un mensonge. Personne n' le droit de le faire:  c'est une désinformation. C'est, en tout cas, indigne de la gauche qui doit être rigueur, rectitude, honneur, justesse. Dans la tradition humaniste. Laissons ls mensonges à Skozy, aux écolos, au marais des idées confortables!

Monsieur Sarkozy a bien d'autres défauts et ce n'est pas la peine d'en rajouter: il devrait déjà comparaître devant un tribunal international.Pourquoi? Parce qu'il met des gens en danger en les renvoyant dans leur pays d'origine, là où ils risquent la persécution, la torture, la mort. Même le refus répugnant de l'immigration (qui rapporte énormément: bon bizness! ) n'autorise pas la complicité de meurtre...   Monsieur Sarkozy a simplement répété le mot "racaille" lancé par une victime. Et justifié, juste, vrai en l'espèce, puisqu'il visait un ordre social dirigé par une minorité agissante de voyous. Contre lesquels les instructions officielles disent souvent aux policiers de ne rien faire. A moins que les organisation n'empêchent d'une façon quasi militaire toute approche des uniformes dans certaines parties des "cités".

PAr rapport à l'immigration, rappelons les faits: on expulse ceux qui sont le plus intégrés, d'une façon spectaculaire.En même temps,on favorise les esclavagistes l'exploitation clandestine d'autres émigrés dans certains secteurs (confection, par exemple) dont les patrons, de droite ou d'exrême-droite, ne sont jamais inquiétés. C'et aussi le cas dans une partie du monde agricole, qui a besoin d'esclaves de saisonniers, et qui fait une grande "consommation" d'émigrés clandestins. Ce que traquent souvent les inspecteusr du travail, tandis que ces exploitants-exploiteurs font parfois partie du Front national ou d'autres organistion anti-immigration, voire racistes..  Rapelons que, dans l'histoire, l'immigration n'a jamais vraiment nui à un pays. Au contraire! Qu'elle puisse poser des problème, c'est possible. Comme il est certain qu'elle enrichit pas mal de gens. DE droite ou d'extrême-droite, en général (il doit bien y avoir des exceptions!)...

Etre de gauche, c'est chercher l'hnnêteté, le savoir, la grandeur.  Dès que quelqu'un dit: "la fin justifie les moyens", on est dans la droite, l'idéal sublime" et le morbide social. Orwelle le disait déjà,le pouvoir ne sert que le pouvoir...  les moyens, lorsqu'on veut qu'ils justifient la fin, ne servent qu'eux-mêmes. Atribuer le mot "racaille" à Sarkozy, c'est se livrer à une propagande digne de lui. C'est rejoindre son indignité profonde. Et c'est  aussi mépriser l'opinion d'une femme du peuple, d'une victime (pourquoi personne n'a voulu l'entendre? Honte! Discrimination! Complicité avec Sarkozy qui s'en est bien servi!). C'est un agissement de droite, c'est-à-dire malhonnête... ET ce mot, jutement,profie à Sarkozy! La gauche,la "fausse gauche" le vomit.

Mais la droite raciste le reprend, jubile. Pour elle c'est un "mot-phare", un slogan, une proclamation! Ah! quel plaisir de le lancer, montrant qu'on "ne mâche pas ses mots" tout en jouissant de ressentir un mépris chevillé au ventre, un dégoût "viscéral" envers les immigrés, une succulente "indignaton vertueuse"! Quel mot efficace!  Et c'est encore une défaite pour la mopsérable pseudo-gauche planplan et mollassonne!

Exigence! Rigueur, honnêteté: Gauche!

Nous avons besoin de vertus plus hautes!