Saucisse, raifort... Plaisirs humain, art du régime!
Les plaisirs simples: salade de pommes de terres avec des carottes cuites, oignons hachés fins, poireaux crus, ail raifort et deux vraies de vraies Francfort: Bonnes saucisses de maître, au boyau naturel résistant juste un peu sous la dent, genre qui fait "knack" effectivement quand cela cède et que la farce fine, équilibrée (pas trop salée, en plus chez les vrais artistes!) est encore un peu résistante et quasiment fondante à la fois... Un moment de la vie, précieux, tranquille, constucteur... Façon douce d'être là.Irrémédiablement présent! Au monde, avec le monde!
Et le goût de terre du raifort persiste après la force! Quelque chose de grand!
Une leçon de morale: savoir être-soi...
Demain? Pot-au-feu de mouton (pas d'agneau! MAis un plat provençal de pauve! PAs du chichi!) à la façon d'Escoffier...Seul problème: il faut le cuire,le refroidir pour le dégraisser, car il y a vaiment trop de gras... MAis c'est aussi ce gras qui sublime les légumes! Qui donne au basilic ses ailes d'ange musclé! A l'ail non dégermé sa puissance conquérante!
LE gras? C'est l'esprit, le parfum. Surtout les graisses animales, si saines (graisse d'oie et saindoux sont proches en ce sens) et notre cerveau est "programmé" pour l'aimer... Oui, le parfum: pour distiller un vrai parfum, une essence, on plaçait, à Gasse, les fleurs, le produit de base sur du saindoux. ET c'est le saindoux qu'on distille: il a "volé" l'âme, l'esprit, l'arôme de la fleur... En cuisine, c'est pareil et ce ci nous conduit à une "morale du gras" luttant conte les régimes mortifères qui ruinent psychologiquement et qui font morfler l'entourage, à cause de l'humeur, bien plus que si l'on fumait un kilo de tabac par jour! LE problème des conduites maniaques et dépressives (on dit aujourd'hui: "bipolaires" c'edst plus chic) ou névrotiques genre déviances alimentaires par rapport à une cutlure donnée mais aussi les autres, c'est que c'est épouvantable pour les proches! De toute façon qui va voir un psy pour résoudre ses problèmes n'est pas sûr d'y parvenir.En revanche, celui qui ira pour arrêter d'emmerder le monde, par devoir familial, civique et de politesse guérira à coup sûr!
Il existe cependant des régimes nécessaires pour cerraines maladies chroniques.On les pratique sous contrôle médical. Il FAUT aussi voir un psy pour ne pas bousiller les autres: l'organisme est un tout et l'affection physique rend souvetn con et vindicatif, ce qui est intolérable et peuve d'un mépris répugnant envers els autres! . Il faut apprivoiser ce régime en inventant une cuisine plaisante (le plaisir peut guérir!) jointe à une programmation rigoureuse des écarts: ainsi poura t-on, tout en mangeant des plats qui nous plaisent chaque jour, se réjoiur d'avance et saliver commack en pensant au jour où l'on fera un "break" faste, en dégustant la choucroute interdite, le cassoulet prohibé,e tc... Evidemment,repos le lendemain, avec délicieux bouillons artistiquelent, etc...
Oui, ce genre de pratque harmonieuse évite les compilsions du trop sucré, voire du trop salé qui nous détruisent à coup sûr! Elle permet aussi d'envisager un vrai lendemain qui chante! LE jour divin de la boustifaille lyrique et tendre, de la trangression mafflue, de la tendresse costaud! Ce qui s'apelle se pourlécher: se lécher d'avance les babines, en anticipant, en prévoyant les délices futures, en eles comparant avec les délices passées!Ca c'est la poésie humaine, profonde que de ne jamais vraiment vivre au présent! D'y mêler d'admirables épices mentales et temporelles! Vivre au présent nous rendrait con: on a inventé mieux. ET, la découverte de soi, du passé entre autre, passe par le goût. Ce que ce goumand de Proust nous a montré avec la madeleine de la tante Léonie qui fait saliver le gourmet de lecture, celui qui déguste le mots comme des caramels... Petit coquin, le Proust, avec sa gourmandise qui sature les pages!
Bien sûr, à ce fervent élan d'amour pur: vivre toues les temps à la fois, il faut adjoindre l'écrabouillage absolu des dégoûts alimentaires, des néophobies.Surtout su ça vient d'une enfance qu'on ne sait plus bien vivre, même si elel a été moche! Un dégoût alimentaire d'enfnce qui persiste est un gâtisme mesquin, saumâtre, handicapant, un manque de plaisir.Et ça peut aussi nuire aux autres! Devenir un adulte gustatif est un élément important pur qui veut apprendre à aimer!
Oui, si l'on est astreint à un régime, ça peut devenir merveilleux! On peut ainsi, comme je l'ai expliqué prévoir le paradis, en connaître la date exacte! Vivre comme un avent permanent, en mangeant bien me(veilleusement tout en atttendant mieux! Quel plaisir! Et sans danger si la fréquence n'est qu'une fois par mois,par exemple!
Plaisir d'amour de la vie, de tempérance, d'excès, d'espoir: être là, être soi... En pensant à ce pauvre mannequin de 40 kg pour 1m72 qui devait montrer un caractère de chien et persécuter ses amis et connaissance: paix à son âme. Elle ne nuira plus. Si la mélancolie ne devient pas pratique, c'est la connerie pure!
L'anorexie est d'ABORD un mépris des autres... Un égoïsme morbide rendant incapable d'aimer les autres. Et ses formes atténuées de partiques alimentaires gnagnan sont aussi le signe de ce même mépris. Ceu qui ne bouffent pas vrai mais à la con vivent, disent-ils, pour longtemps! Tant mieux! Car leur pratique révèle une souffrance (genre névrose macrobiotique ou végétaroïde: allez vous sur leurs sires, leurs dialogues! Berck: que de violence,de hargne,de mépris et de haine!) et je souhaite avec une cruauté proche de celle de la nature, longue vie aux salauds, aux hargneux, aux violent qui souffrent! Puissent-ils morfler par les siècles des siècles!
Il faut un peu de méchanceté, tout de même, comme digestif... Ou Gloria!
Dire qu'on prépare nos nostalgies! Lentes cuissons et mijotages! "Prends garde à la douceur des choses"...
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