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orlando de rudder
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22 novembre 2006

Para-histoire du proto-écologisme

En parlant de Kellog et de son végétarisme ayant mené à l'invention des corn flakes (voir mon article précédent sur Kellog), j'ai omis de soulignr l'influence des penseurs de la nature qui, en dehors de Thoreau, eurent ue grande infleunce sur la pensée proto-écologiste, puis écologiste (et parfois sur les écologues, mais c'est une aute histoire!)...

L'obsession sexuelle négative du courant "écolo" végétarien que manifeste Kellog dans un délire on ne peut plus malsain vient d'une pensée de la nature.Et la frénésie anti-masturbatoire de KEllog vient du rousseauisme, de Voltaire qui approuvèrent l'inénarrable, mais dangereux Tissot, chantre de la nature et qui conseillait d'attacher, d'entraver les petits garçons (avant qu'on en vienne à CAUTERISER le clitoris des petites filles!!!! Par respect de la nature puisque la masturbation était considérée, souvent comme "contre nature", come l'jomosexualité, etc..!!!) pour qu'ils ne se masturbassent pas!

L'idée de la nature d'un Tissot, mais aussi d'un Kellog rejoint cele de l'écologie actuelle post-moderne:PAtrimoine à transmettre, banque, Caisse d'épargne dans la droite ligne de ce que MAx Weber dénonce dans son livre fondamental sur l'idéologie protestante et la naissance du capitalisme. La masturbation n'est pas productive.LA nature produit.Donc la masturbation est anti-naturelle... Ou anti-économique, ce qui revient au même... Comme tant d'autres pratiques sexuelles "déviantes" que la loi de ces époques persécutait d'une façon ignoble, au nom de Dieu et de la nature!

Le catholicisme, obsédé par la lutte contre la limitation des naissances, condamnait lui aussi ces pratiques pour des raisons économiques ( "sousmystiques: l'économisme est avant tout d'origine religieuse!) et guerrières: il faut produire de nombreux ptits ctholmiques pour faire la guerre aux infidèles (l'Islam pensait pareil au moement des croisades!)...Le nationalisme suivit avec en corollaire le matlhusianisme et l'économie libérale.

Pour Kellog, il fallait aller plus loin et, outre une diététique perverse, remette l'économique à sa vraie place, symbolique et religieuse. Et la masturbation devint "self abuse" soit quasiment un "viol de soi-même" contre nature et condamnable. Il s'agissait de passer subtilement de l'inutilité à la délinquance...  Avec des pratiques médicales monstrueuse comme les applications d'acide sur les parties génitale pur dissuader elmasturbateur (Efficacité garantie).

LA pensée de la nature, l'écologisme ont évidemment abandonné ce genre de pratiques.Mais leur esprit rete dans l'héritage d'une philosophie morale bancaire à la Tissot ou à la Marsh, à la Kellog (la nature rapporte du fric, le capitalisme est "naturel",etc) et à l'idéologie "patrimoniale" de la terre, bien foncier à transmettre à nos héritiers.LEs perversions parasexuelles anto-sexualité sont moins présentes, encore que... Du moins ne sont elles pas proclamées, l'insitance étant mise sur une aute façon d'exprimer les tabous, qui et fort liée aux sexualités archaïques: la nourriture, la diététique et l'idéologie de la "santé à tout prix" créant un marché de l'alimentation diététique (avant la pensée libérale, ça n'existait guère) et du "bien être" zenoïde (le "satori" zen ou le "clair" scientologue: l'horreur absolue de 'l'anti-humain!) et les pratiques "fitness" ou "culturisme" (ce mot, trop évocateur, est remplacé par "musculation", plus neutre... Et moins marrant que "body-building, "construction du corps"! CA c'est de l'architecture moderne! ) transformant l'esthétique du corps en marché et son pratiquant en producteur esthétique d'un équilibre "hypernormal".

La seule chose importante dans ce gloubiboulga de la nature, de la santé, de l'écologisme dont la parenté est flagrante est de ne pas laisser l'être commeil est, comme il veut "s'être", mai de créer un laborieux missionnaire de soi-même, s'auto-convertissant constamment en TRAVAILLANT sur sa place au monde renforcée par un hédonisme industrieux,,industriel, sain et "bio"!

En modifiant la vie quotidienne, en enseignant des "écogestes", en transformant l'être par toutes ces pratiques, on rejoint l'idéologie de "l'Homme Nouveau" montrant ainsi comment toute la pensée des lumières, déviée par libéralisme, pervertie par une certaine idée de la nature que l'on peut faire partager à des anti-libéraux pour s'en faire des alliés est proche des totalitarisme qui ont ensanglanté le XXe.s. ET y retourne insensiblement: l'écologiste SAIT.LE travaileur est un salaud qui pollue (voir les attaques contre la pêche! Invraisemblable abus!).Au nom d la nature,,on va vilipender les obèses comme on persécutait les masturbateurs ou,les homosexuels. La pensée nutritionnelle à la Kellog,Ohsawa,Bircher est passée du pansexualisme à l'anti-bouffe... L'homme nouveau sera "sexuellement correct" (et l'on va lui inculquer des machins "traditionnels" d'idéologies totalitaires: tantrisme et autres pratique vraiment douteuses et réactionnaires qu'il va falloirt ransformer, par le discours, en idéologie un peu moins machiste! Un certain pseudo-féminisme "fausse route" y contribuera volontiers), certes, mais surtout mince , si possible végétarien...

L'écologisme est porteur de cette mentalité. Il ne s'en défera jamais: Il n'aime pas la nature, mais l'idée qu'il s'en fait. Il corrige ce qui choque trop dans les options anciennes des écolos de la,première heure, souvent nazi (Shoenichen, etc) et tout ce qui "ne va pas" afin de devenir d'abord acceptable,puis consensuelle, puis majoritaire... Cette pensée calculante organise ses propres courants et oppositions dans la tradition libérale et s'avance, tranquille, "bien pensante", petite bourgeoise pouvant montrer des courants anarchisants ou gauchisants, vers un totalitarisme libéral prônant l' "l'Homme Nouveau", ni de droite, ni de gauche, mais "clair" et justifié par sa place dans une nature "allégée", "bio", "saine", terriblement saine et qui, devenue belle comme un longot d'or tout neuf ou un pavé de tofu immaculé, l'on transmetrra à des générations futures de clones fascisants, végétariens (car les consommateurs de viandes sont des sanguinaires cruels, n'est-ce pas? Des salauds spécistes pourris qu'il faut tuer! Ils mangeraient leurs propres enfants!), non-fumeurs et bien-baisants...

On tuera tous les affreux!

Conseil: ne contredisez jamais un écologiste, surtout un véhément! Allez dans son sens hypocritement. Assez vite , il se "dévoilera" et le fonds totalitaire de sa pensée éclatera au grand jour... A son grand dam,parfois! Ne débattez pas: écoutez, notez, enregistrez... Ca révèle! LAissez ces gens argumenter! Sans cotradictions, dès qu'ils se croient en confiance, la vérité éclate, épiphanie pouacreuse et glauquissime!

Cependant, il existe quelques naïfs qui ne voient pas ou ne veulent pas voir où mène, où a mené, ou mènera ce type de mentalité!

Chassez le naturel, il devient écolo...

On ne fait pas l'économie de l'histoire! quand on veut l'oublier, elle nous attend au tournant, en embuscade... A sin heure, elle attaque et ça fait très mal! C'est aussi terrible que les "sales petits secrets" de famille qu'on veut cacher, qui ressurgissent et qui détruisent inexorablement!

C'est là, présent, sourd, enfoui, mais irrémédiablement présent!

Il va aussi falluir parler des sociétés écologistes allemandes,à l'origine des associations de protection des animaux, qui , à l'ombre d'hitler, fondèrent quelques -unes les premières sociétés protectices des animaux.Alors que les lois contre la maltritance envers les bêtes suffisaient, que des organisme de protection fonctionnaient bien,  et qu'il n'y avait pas plus de violence de ce type qu'avant, au contraire.En revanche, contre les hommes... L'histoire nous révèle cette articulation des moments de crise: l'interdépencdance entre une certaine idée de la nature, des élans zamidézanimo et des montées desz totalitarismes: nous sommes en 1930. ET, comme ces idées sont suffisament vastes et floues, elles sont "récupérables" à l'infini. MAis, finalement, toujours dans el même sens... l s'git là d'une idéologie, d'une "certaine idée" de la nature qui oculte toutes les autres, confisque les discours, empêche de vivre en  empêchant toute expression qui ne va pas dans son sens, et en empêchant la vie, soit par ds gouvernement ignobles, soit par des massacres... Aussi faut-il lutter pour la nature en tant qu ' "autre chose" que ces représentations, ces arrangements de faits, taillés "sur mesure", artificiels et, finalement anti-naturels tout en présentant une curieuse unanimité faisant de tout contradicteur un "déviant" ou un traître" et de l'homme un être ignoble. Surtout ceux des races inférieures", Untermensch, "dégénérés" et qui doivent être éliminés parce qu'il sont "contre-nature"... C'était ça, l'écologie: lire HAeckel et les libéraux issu des "lumières" dévoyées, les racistes genre VAcher de Lapouge... Et Shoenichen... Il y a tant de choses qui sont reprises dans les discours actuels, mot puor mot, tandis qu'on occulte,mais pour combien de temps? ce qui gêne encore... On peut aussi relire Orwell, la ferme des animaux et 1984... Toiut y est dit sur ce type de pensée "unanime"...

Apropos d'animaux, et de la conception actuelle des "zamidézanimo", on lira Luc Ferry, ministre cotesté, mais vrai penseur, ce qui dérange beaucoup! hi! hi! Et qui produit des références incontestables:   http://www.lepoint.fr/edito/document.html?did=69945.. Qui peuvent évidemment servir à des idéologies tout aussi perverses! Rien n'est simple! Sauf les matraquage de type slogans, publicitaire des écolos et zamidézanimo suivn el cournt comme une mode et ne remettant pas en question la légérté de eleurs oprions! Etre soi, vivre la nature, pouvoir établir des relations interpersonnelles avec les animaux, et non  reproduire des "clichés affectifs", comme faire partie de la nature est bien autre chose!

On ne fait pas l'économie de l'histoire!

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Commentaires
P
Le "contre-nature" prouve déjà un mépris de la nature, elle qui possède tant de modèles différents, tant dans la sexualité qu'ailleurs. La nature est féroce et je le lui rends bien ! Cela dit, faudra qu'j'lise Darwin. Y se s'rait fait baiser la gueule par un disciple trop zélé qui aurait intégrisé sa pensée ( j'me souviens plus du nom, mais j'peux te chercher ça). Ce sont généralement les théories dudit qui sont avancées, pas celles de Darwin lui-même. Un peu comme les propos miso de Marie Bonaparte, généralement attribués à Freud.
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