Banlieues et campagnes

Banlieues, misère et racisme "positif"! MArre! LA plupart des "jeunes" (on dit "jeune" de banlieue maintenant, c'est moins moche, croit-on qu"issu de l'immigration", "arabe" etc... mais c'est aussi grave!) ont, certes des problèmes, mais vivent, font des trucs, s'en tirent bon an mal an comme la majorité des français dont ils font parti, quoique "jeunes" (hi! hi!)... LEs aides sociales font qu'ils sont moins pauvres que la majorité des êtres humains sur la terre. Ce n'est pas assez.Mais on est loin de la misère sévissant durant les "trente glorieuses" si épatante au point que l'abbé Pierre a réagi conte une misère effroyable! et les gigantesques bidonvilles aux portes des villes! Et ce pauvre abbé s'est fait avoir par Bouygues qui a construit à tour de bras les "cités", qui n'en sont pas, que nous connaissons: L'abbé voulait aider les gens, bouygues et son pote Chirac ainsi que tous les dirigeants du RPR et de ce genre de parti voulaient les parquer. LEs mêmes sot aujourd'hui à l'UMP t ces coupables de la situation, au départ, veulent jouer els sauveurs aujourd'hui! Eh oui, constructions sociales, marché juteux pour Bouygues et les UMP d'autrefois qui osaient parfois se montrer ouvertement racistes, ce qui était honnête! Ca vient de là! On ne fait pas l'économie de l'histoire!

Le vrai problème dépasse la situation économique.LEs "jeunes" qui cassent et brûlent les bus sont minoritaires, plus ou moins organisés par des regroupement à la fois flous et bien dirigés. Et le fond de tout cela est une question de mentalité et de représentation: la haine de la démocratie, de la République, de la France, le repli identitaire, le rêve d'un pays perdu font de cette frange coupable, coupable, coupable un réseau fasciste digne des S.A, voué à la défense de territoire en vue de protéger une économie "parallèlle" niée, mais présente, énorme et dont le chifre d'affaire dépasse de loin celui de plusieurs grosses entreprises! Et ctte économie n'est pas si "parallèlle " que ça! Ele est principale dans les "territoires iterdits"...Mais nos ignobles petits fachos font la une des  journaux tandis que  tant d'autres s'adaptent plus ou moins bien, ou mal, mais vivent dans une précarité moindre que les gens des campagnes. Car il y a tout un monde sain, dans les banlieues que l'on veut ignorer! ET qui morfle du fait de ces groupusciles aux mains d'affairistes utilisant les "jeunes de banlieue".

Car c'est là que je veux en venir: la vraie misère, en France, est rurale. Elle est aussi due en partie à des mentalités et des représentation: combien de filles se retrouvnt enceintes à 16 ans en ignorant tout de la contraception? L4infanticide, ce crime de femme est fréquent (pouquoi en parle t-on maintenant?) les inceste sotn quasiment coutumiers dans certrains coins et la maltraitance d'enfants ou de viux est permanente. A côté de réseaux forts d'entraide un peu surranés, mais efficaces. P, en parle enfin, de ce µPRINCIPAL problème de misère français. Voir:

www.place-publique.fr/article1670.html

Or, il y a beaucoup à fire dans les campagnes! Et tous ceux qui reprenennt des fermes, quand ils ne sont pas en échec depuis la ville!!! PArviennent à s'en sortir en proposant de nouveaux ^rpduits. Ce n'estr pas assez, mais ça marxche.. Et l'on pourrait ivestir... ertes, En Vienne, dans le Périgord, beaucoup d'aAglais aisés viennent s'istaller...  Et réussissent! Pourquoi pas quelques-uns des banlieues? LEs banlieues,, de toute façon n'iront mieux que lorsque els mentalités redeviendront républicaines, laïques; constructives, non victimaires et anti-école, tout en oubliant la réussite footeuse, miroir aux alouettes destructeur... MAlgré quelques vedettes forcément minoritaire. L'élitisme du foot est moins efficce que l'élitisme culturel!

LE malheur des campagnes est bien plus profond que le malheur IDEOLOGIQUE des banlieues (il faut avoir été pauvre et banlieusard, puis connaître la campagne pour le VOIR et le COMPRENDRE). Mais face aux "casseurs" fascistes, racistes, fascistes, sexistes, les banlieues ont du mal à réagir. LA discrimination, le chômage n'expliquent pas tout! Sinon les ruraux casseraient tout aussi!

MAis avec le racisme ambiant des Français "de souche" ou d'immigration intégrée depuis longtemps fait que la capagne, ce n'et pas porteur... IL faut effrayer els gens grâce à quelques centaines de salauds, ce qui permet d'étaler le mépris  des "petits blancs" à toute la,population des banlieues. Ce qui arrange Sarkozy! Et  aussi la politique de Bush (la misère ruralme aux Etats-Unis est terrifiante): le libéralisme c'est ça. Il tu, mais ça ne compte pas: ce sot les méchants Arabes ls criminels...Et pourtant, jamais les pires et les plus dégueulasses des terroristes n'ont tué autant que le libéralisme! Faites els comptes! Et ils n'ont pas, non plus, gâché autant de vies (encore qu'ios y parviennent fort bien avec la charia)...

Le principe de réalité devrait nous conduire à connaître le problème rural et à remettre à sa place le vrai problème des banlieues, grave, certes, mais aggravé par le spectaculaire.IL peut se résoudre. LE tout est de le vouloir. Pur les campagnes, c'est plus comlexe... Mais si peu "porteur"!